Chalom alehem rav, Celui qui a fait durant sa vie le maximum de lui meme et qu’a la fin il ne parle pas vraiment le lachon hakodesh comment pourra t-il s’exprimer au olam haba sachant qu’il parlait ds sa langue de sa vie sur terre? Dans ma téfila à la fin, entre les ketoreths et tana deve eliyahou je fais une étude comme hok léisrael, je voudrais savoir si ce n’est pas un rajout qu’il ne faut pas faire car je récite des téhilims qui sont déjà inscrits entre baroukh cheamar et ishtabar ? toda raba. Lehitrahot.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Jérémie,
Je pense que dans le olam haba on ne parle ni le lachon hakodesh ni une autre langue, mais on parle le langage de l’âme, ou si on parle le lachon hakodesh, alors c’est le langage de l’âme juive, et chaque âme juive le comprend. Il n’y a aucun problème à étudier entre le ketoret et le tana débé eliahou.
Au revoir,
Rav Ron Chaya.
Rav Ron Chaya.
Référence : 7925
Date question sur Leava : 2010-01-06 16:01:13
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