Bonjour Rav,
Je vous explique, je suis juif traditionaliste sépharade d’origines marocaines,je fais shabbat, j’essaie de regarder vos vidéos quand je peux, et j’étudie un peu le sefer hamitsvoth tout les shabbat (mitsva prise sur moi récemment).
Dans quelques mois je vais lancer mon entreprise, (saine je vous rassure) et je me demandais si vous aviez de réel conseil pour réussir vraiment, pour que mes affaires SDV réussissent bien ?
Bien Cordialement,
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Il est écrit que si on donne 20% de nos bénéfices, il y a une promesse qu’on s’enrichira.
Cela dit, il faut savoir que cette promesse ne se réalise pas à tous les coups car parfois, certains péchés empêchent cette bénédiction de se réaliser.
Néanmoins, cela reste un très bon moyen de mettre de son côté des grandes chances de réussite.
Donc après avoir déduit toutes les charges du bureau etc., une fois que tu as ton bénéfice net, tu en prélèves 20% que tu donnes à la Tsédaka.
Attention :
Avant de décider de donner 20% de tes revenus, dit bien à haute voix la phrase suivante :
« Bli néder je prends sur moi la coutume de donner 20% de mes bénéfices » ; ainsi cela te permettra d’arrêter quand tu veux, sinon cela devient un néder et tu seras obliger de continuer toute ta vie.
Il faut aussi poser la condition suivante :
« Je pose aussi la condition que si jamais je donne plus que les 20%, je pourrai les déduire plus tard du maasser (‘homech) de mes revenus ultérieurs ».
Ainsi que cette condition :
« Je pose aussi la condition que tout argent que je vais donner en tsédaka ne sera pas considéré comme telle jusqu’à ce qu’il arrive dans les mains du pauvre ou du représentant de l’organisation caritative à laquelle je désire donner cet argent ».
Ainsi tu pourras toujours changer d’avis ou te rétracter tant que tu n’auras pas donné l’argent.
Des fois on veut donner l‘argent, et la personne n’est plus présente, et cela est un gros problème dans la halakha.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Cela dit, il faut savoir que cette promesse ne se réalise pas à tous les coups car parfois, certains péchés empêchent cette bénédiction de se réaliser.
Néanmoins, cela reste un très bon moyen de mettre de son côté des grandes chances de réussite.
Avant de décider de donner 20% de tes revenus, dit bien à haute voix la phrase suivante :
« Je pose aussi la condition que si jamais je donne plus que les 20%, je pourrai les déduire plus tard du maasser (‘homech) de mes revenus ultérieurs ».
« Je pose aussi la condition que tout argent que je vais donner en tsédaka ne sera pas considéré comme telle jusqu’à ce qu’il arrive dans les mains du pauvre ou du représentant de l’organisation caritative à laquelle je désire donner cet argent ».
Des fois on veut donner l‘argent, et la personne n’est plus présente, et cela est un gros problème dans la halakha.
Référence Leava : 68991
Date de création : 2016-01-20 17:44:51
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