shalom rav
j ai ecouter votre cours »chiddoukh encore » et il y a qqs points ke g n ai pas compris tout d abord qd on doit choisir son epoux es ce ke celui ci doit avoir le meme caractere que soi(car on dit kil est le reflet de notre miroir) 2ement qd vs dites kil faut avoir des criteres de selection cmt savoir si on est trop exigeant ou si c pas notre mazal 3ement g entendu un chiour ki disait ke le 1er mariage n ete pa du au merite alors pk tt le monde dit ke c en ameliorant ses midot kon trouvera qqn de bien 4ement es ce kil faut croire les rav kabbalistes qui disent qu on est mazal avec telle personne et enfin es ce que vs connaitriez svp des chatraniot serieuses sur marseille
merci rav et kol hakavod pr ts ce ke vs faites
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
1) Je ne sais pas s’il faut avoir le même caractère, mais il faut
au moins être sur la même longueur d’onde. Certains caractères différents sont complémentaires. Chaque cas est à juger en soi. Il ne faut jamais s’occuper de savoir si c’est notre mazal ou pas, car on en le saura que le jour de la ‘houpa, le fait de se marier prouve rétroactivement que c’est notre mazal.
2) Pour savoir si le chiddou’h correspond, il faut, comme je l’ai
dit, avoir des critères de sélection. Pour savoir si ces critères sont trop exigeants, il faut être conseillé par quelqu’un qui pourra nous dire ce qui est important et ce qui est accessoire. Dans tous les cas de figure, on ne pourra jamais trouver quelqu’un qui, de prime abord, correspond à tout ce dont nous rêvons.
3) Effectivement, Rachi (au début du traité Sota) explique que le
premier mariage dépend du mazal et le deuxième, de notre comportement.
Cependant la majorité des commentateurs pensent que dans tous les cas cela dépend de D., qui nous fera rencontrer notre mazal en fonction de notre comportement.
4) Il ne faut pas croire les kabbalistes qui disent qu’on est le
mazal de telle ou telle personne et inversement. Sache, par exemple, qu’aujourd’hui, un des grands hommes du peuple d’Israël, qui a roua’h hakodech, Rabbi David Abouhatsera, fils de Rabbi Méïr Abouhatsera (Baba
Méîr) et petit-fils de Baba Salé, dit qu’ils ont dans la famille une kabbala, une tradition, selon laquelle ils n’interviennent en rien dans le choix du partenaire. Une fois que les personnes ont décidé de se marier, ils leur font volontiers une braha, mais décider s’ils correspondent n’est pas de leur ressort. Nous devons donc fonctionner avec notre raison.
5) Pour une chadhanit sérieuse, de métier, il n’en existe pas. Par
contre, il y a des femmes très sérieuses qui s’occupent de faire des chiddou’h, telles que Marilyn Assouline :
04 91 74 20 48.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
au moins être sur la même longueur d’onde. Certains caractères différents sont complémentaires. Chaque cas est à juger en soi. Il ne faut jamais s’occuper de savoir si c’est notre mazal ou pas, car on en le saura que le jour de la ‘houpa, le fait de se marier prouve rétroactivement que c’est notre mazal.
2) Pour savoir si le chiddou’h correspond, il faut, comme je l’ai
dit, avoir des critères de sélection. Pour savoir si ces critères sont trop exigeants, il faut être conseillé par quelqu’un qui pourra nous dire ce qui est important et ce qui est accessoire. Dans tous les cas de figure, on ne pourra jamais trouver quelqu’un qui, de prime abord, correspond à tout ce dont nous rêvons.
3) Effectivement, Rachi (au début du traité Sota) explique que le
premier mariage dépend du mazal et le deuxième, de notre comportement.
Cependant la majorité des commentateurs pensent que dans tous les cas cela dépend de D., qui nous fera rencontrer notre mazal en fonction de notre comportement.
4) Il ne faut pas croire les kabbalistes qui disent qu’on est le
mazal de telle ou telle personne et inversement. Sache, par exemple, qu’aujourd’hui, un des grands hommes du peuple d’Israël, qui a roua’h hakodech, Rabbi David Abouhatsera, fils de Rabbi Méïr Abouhatsera (Baba
Méîr) et petit-fils de Baba Salé, dit qu’ils ont dans la famille une kabbala, une tradition, selon laquelle ils n’interviennent en rien dans le choix du partenaire. Une fois que les personnes ont décidé de se marier, ils leur font volontiers une braha, mais décider s’ils correspondent n’est pas de leur ressort. Nous devons donc fonctionner avec notre raison.
5) Pour une chadhanit sérieuse, de métier, il n’en existe pas. Par
contre, il y a des femmes très sérieuses qui s’occupent de faire des chiddou’h, telles que Marilyn Assouline :
04 91 74 20 48.
Référence Leava : 805
Date de création : 2006-11-27 21:11:31