je suis une femme de 45 ans,
je me suis inscrit à deux seder dans ma synogogue actuelle.
J’avais l’habitude de jêuner pour pessah mais il est dit que seul les jeunes de plus de 13 ans garçon surtout doit jeuner pour pessah. si est exempté il ne jeûnera pas dans le cas contraire son père ne jêunera à sa place.
Et la mère, la femme qui transmet le sang juive par héridité doit elle jeûner ou pas.
J’ai un garçon de 3 ans et une fille de 1 ans .
merci
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Anouk,
Il est vrai qu’à l’origine, chez les séfaradim, il y a certaines communautés où les femmes aînées jeûnaient, néanmoins actuellement la coutume est qu’aucune femme aînée ne jeûne.
Le mieux néanmoins est qu’elle mange un peu d’un repas de siyoum massékhète (un achèvement de traité de Talmud) qu’on fait d’habitude à la synagogue la veille de Pessa’h au matin après cha’harit.
Inutile qu’elle soit présente, il suffit qu’on lui amène un peu de la nourriture qui a était distribuée lors de ce repas.
D’après certains avis, un père qui n’est pas aîné mais qui a un fils aîné de moins de 3 ans jeûnera pour lui, et si lui-même est aîné, alors la mère jeûnera pour le fils.
Vu qu’il ne s’agit que d’une mesure de piété, là-aussi, dans tous les cas où le père ne jeûne pas pour le fils ainé, il serait bien que la mère mange du repas de siyoum massékhète susmentionné, mais tout cela est une mesure de piété bien sûr.
De plus, si une femme est dans les 2 ans après son accouchement, elle est dispensée du jeûne de toute façon.
Au revoir,
Rav Ron Chaya.
Le mieux néanmoins est qu’elle mange un peu d’un repas de siyoum massékhète (un achèvement de traité de Talmud) qu’on fait d’habitude à la synagogue la veille de Pessa’h au matin après cha’harit.
Inutile qu’elle soit présente, il suffit qu’on lui amène un peu de la nourriture qui a était distribuée lors de ce repas.
D’après certains avis, un père qui n’est pas aîné mais qui a un fils aîné de moins de 3 ans jeûnera pour lui, et si lui-même est aîné, alors la mère jeûnera pour le fils.
Vu qu’il ne s’agit que d’une mesure de piété, là-aussi, dans tous les cas où le père ne jeûne pas pour le fils ainé, il serait bien que la mère mange du repas de siyoum massékhète susmentionné, mais tout cela est une mesure de piété bien sûr.
Rav Ron Chaya.
Référence Leava : 12901
Date de création : 2011-04-17 21:04:16
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