Bonjour à vous Rav Chaya, Ma question seras plus humaine que divine même si l’ensemble se trouve.Sachez que ma question à besoin d’une réponse car ,je doit dire,que je ne connais pas la réponse mais je connais Ma réponse mais je ne suis qu’un homme allant de si et là,cherchant le pourquoi du comment..le soucis est que je trouve mon propre "comment" sans pour autant savoir si celui-ci est bon et véritable,voici donc la question: Un homme aimant dieu de toute ses force ,faissant tout se qu’il est prescrit dans la loi mais fessant preuve inconsciemment de malhonnêteté et même de cruauté sera t’il plus "favorisé" par notre Seigneur que celui qui se dit "athée" mais qui fait un grand bien?? le vrai croyant n’est t’il pas l’homme de bien et ce malgré le fait qui se dire "non-croyant"? Je pense que dieu nous veut que du bien et veut que l’ont lui rende se bien par le bien,je pense qu’un homme confronté au péché et qu’il y résiste est un bon serviteur de dieu,de la même façon que je pense qu’interdire la tentation est une mauvaise chose,si un homme ne connais pas la tentation comment pourrais t’il être sur de savoir bien servir? voila,je vous remercies pour vos réponses et vous laisses cordialement,dieu vous bénisses
Réponse du Rav Ron Chaya :
Bonjour Cédric,
D. est juste, et dans Sa justice, Il jugera à quel point quelqu’un a fait des efforts pour se rapprocher de Lui ou s’est éloigné de Lui pour suivre ses pulsions. On ne peut pas trancher et dire qu’une chose est préférable à l’autre, cela reviendrait à trancher dans une question du type : Est-ce qu’il est préférable de crever l’œil de quelqu’un ou de lui couper un bras ? Et même si quelqu’un était à même de trancher dans cette question cruciale, il y a beaucoup de détails qui pourraient changer sa décision, tels que lequel des deux bras, le gauche ou le droit, à quel point l’œil serait touché de cécité, et si ce n’était qu’un œil ou les deux, ou les deux bras, de quelle façon …
Les deux sont nécessaires, l’amour de D. dans l’observance de Ses lois, et l’amour du bien en tant que bien. Je dirai même que, très rapidement, les deux deviennent interdépendants, on ne peut pas aimer D. fort sans aimer le bien, on ne peut pas aimer le bien fort sans aimer D.
Au revoir,
Rav Ron Chaya.
Les deux sont nécessaires, l’amour de D. dans l’observance de Ses lois, et l’amour du bien en tant que bien. Je dirai même que, très rapidement, les deux deviennent interdépendants, on ne peut pas aimer D. fort sans aimer le bien, on ne peut pas aimer le bien fort sans aimer D.
Rav Ron Chaya.
Référence Leava : 5419
Date de création : 2009-03-13 14:03:41