Chalom Rav,
Ma question est la suivante:
Un converti né de père juif, et étant l’aîné de la famille, doit il jeûné lors du jeûne des premiers nés la veille de Pessah?
Merci d’avance pour votre réponse.
Kol Tov.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Le rav Wozner, dans son livre « Chevet ha-Lévi », tome 8, chapitre 117, écrit qu’il y a un doute si un converti qui est fils aîné doit jeûner le jeûne des fils aînés la veille de Pessa’h.
D’un côté, le converti est considéré comme un enfant qui vient de naître, et en cela il n’est plus considéré comme l’aîné de ses parents, mais d’un autre côté, s’il avait été en Égypte à l’époque, en tant que non-juif aîné, il serait mort durant la plaie de la mort des premiers nés, mais certainement étant converti, il aurait eu la vie sauve, et dans cette mesure, il devrait jeûner.
En conclusion, il préconise 2 solutions :
– Soit il participe à une séoudat mitsva, telle que celle de l’achèvement d’un traité du Talmud ;
– Soit il pourra manger un peu de tout, excepté des céréales ou un produit de céréales.
Pessa’h Cacher vésaméa’h.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Chalom,
Le rav Wozner, dans son livre « Chevet ha-Lévi », tome 8, chapitre 117, écrit qu’il y a un doute si un converti qui est fils aîné doit jeûner le jeûne des fils aînés la veille de Pessa’h.
D’un côté, le converti est considéré comme un enfant qui vient de naître, et en cela il n’est plus considéré comme l’aîné de ses parents, mais d’un autre côté, s’il avait été en Égypte à l’époque, en tant que non-juif aîné, il serait mort durant la plaie de la mort des premiers nés, mais certainement étant converti, il aurait eu la vie sauve, et dans cette mesure, il devrait jeûner.
En conclusion, il préconise 2 solutions :
– Soit il participe à une séoudat mitsva, telle que celle de l’achèvement d’un traité du Talmud ;
– Soit il pourra manger un peu de tout, excepté des céréales ou un produit de céréales.
Pessa’h Cacher vésaméa’h.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 23169
Date de création : 2013-03-14 00:03:21