shalom RAV chaya. tout juif a le pouvoir de bénir, ce qui a fait l’objet d’un livre que je n’ai pas encore. quelle est la formule pour bénir selon la règle ancestrale? doit on faire comprendre à la personne qu’on béni de quoi on parle ou peut on rester discret sur ce qu’on lui souhaite dans notre bénédiction.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Ruben,
La formule ancestrale pour bénir est :
« Mi chébérakh avoténou hakedochim Avraham Its’hak Yaakov Moché Aaron Yossef David ouChlomo hou yévarekh ète (prénom de la personne) ben/bat (prénom de la mère ou du père) ».
Si possible, on bénit la personne dans le cadre de la collectivité du peuple d’Israël, en disant après les mots susmentionnés « bétokh kelal bné Israël », et on finit en disant
« vékhen yéhi ratson vénomar Amen » et les auditeurs (s’il y en a) répondent « Amen ». On peut rester discret dans les propos de la bénédiction.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
« Mi chébérakh avoténou hakedochim Avraham Its’hak Yaakov Moché Aaron Yossef David ouChlomo hou yévarekh ète (prénom de la personne) ben/bat (prénom de la mère ou du père) ».
Si possible, on bénit la personne dans le cadre de la collectivité du peuple d’Israël, en disant après les mots susmentionnés « bétokh kelal bné Israël », et on finit en disant
« vékhen yéhi ratson vénomar Amen » et les auditeurs (s’il y en a) répondent « Amen ». On peut rester discret dans les propos de la bénédiction.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 4057
Date de création : 2008-10-27 16:10:26
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