J’ai bien eu vos réponses (cf ci dessous). Toda raba !
J’ai compris 🙂
Néanmoins, pour la 1 ère, ma question était plutôt de cet ordre :
– Avez-vous les références relatives au 2000 coudées indiquée par la Torah orale svp ?
(vu que maintenant ces informations sont écrites).
Et aussi, vous dîtes, qu’il faut écouter les grands de la génération, faut-il choisir un « mouvement », + un rav précis, et s’y tenir ?
Faut-il, pour bien suivre les halakhot avoir un Rav en plus d’écouter un grand de la génération ?
Toda raba !
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Voici les réponses à vos questions :
- Le chapitre du Choul’han Aroukh relatif aux lois concernant les 2 000 coudées pendant Chabbat est le chapitre 397.
- En ce qui concerne le fait d’écouter un grand de la génération :
Il ne faut pas changer les décisionnaires de notre communauté ; si on est ashkénaze, il faut suivre les décisionnaires ashkénazes, et si on est séfarade, il faut suivre les décisionnaires séfarades.
Quel décisionnaire choisir ?
Celui qu’on veut.
Doit-on le suivre à la lettre ?
C’est l’une des solutions.
Autre solution :
Chaque fois qu’on a une loi Dérabannan, on pourra choisir l’avis plus laxiste, et chaque fois qu’on a une loi Déoraïta, on prendra l’avis plus sévère.
On peut aussi décider qu’on prend l’avis plus laxiste et lorsqu’on en a envie concernant une certaine halakha, on prend l’avis plus sévère. Car de toute façon, celui qui préconise l’avis laxiste serait d’accord qu’on prenne l’avis sévère car cela n’est pas interdit.
Il n’est pas nécessaire d’avoir un Rav en plus du fait d’écouter un grand de la génération, mais cela est conseillé.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Il ne faut pas changer les décisionnaires de notre communauté ; si on est ashkénaze, il faut suivre les décisionnaires ashkénazes, et si on est séfarade, il faut suivre les décisionnaires séfarades.
Quel décisionnaire choisir ?
Celui qu’on veut.
Doit-on le suivre à la lettre ?
C’est l’une des solutions.
Autre solution :
Chaque fois qu’on a une loi Dérabannan, on pourra choisir l’avis plus laxiste, et chaque fois qu’on a une loi Déoraïta, on prendra l’avis plus sévère.
On peut aussi décider qu’on prend l’avis plus laxiste et lorsqu’on en a envie concernant une certaine halakha, on prend l’avis plus sévère. Car de toute façon, celui qui préconise l’avis laxiste serait d’accord qu’on prenne l’avis sévère car cela n’est pas interdit.
Il n’est pas nécessaire d’avoir un Rav en plus du fait d’écouter un grand de la génération, mais cela est conseillé.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 68568
Date de création : 2015-12-24 22:58:54