Chalom,
J’ai plusieurs questions à poser…
- En ce qui concerne le kaddish, la partit de amen yéhé chéme raba, des fois le chalia’h tsibour le dit trop vite et j’arrive pas a finir avant le Amen.
Faut il répondre Amen ou ce n’est pas la penne jusqu’a que je finisse béalma ?
Y a-t-il un problème a répéter 2 mots dans ces 28 par erreur ou empressement ? - Vaut-il mieux finir la amida avec empressement pour finir avec le début de la ‘hazara et ensuite faire toute les kavanot nécessaires pendant la ‘hazara ou faire sa Amida avec kavana et finir a la fin de la ‘hazara bien sûr en ratant la kedoucha.
Pour Arvit, y a-t-il aussi le problème que je ne finis pas la amida et que le chalia’h tsibour dit kaddich.
Sur quoi donner l’accent ?
La amida ou essayer de faire plus vite pour répondre au kaddich ? - Quelle serait la meilleure paire de tefillins ?
Mieux une grande ou une petite ?
Les lanières noires des deux côtés ?A partir de quand mettre Rabenou Tam ?
Y a-t-il un niveau spirituelle qui délimite son port ?
Quelle est son importance ?
Merci
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Voici les réponses à vos questions :
- Tous sont d’accord qu’il ne faut pas répondre le amen de berikh hou si on n’est pas arrivé à bé’alma.
Si le chalia’h tsibour est déjà arrivé à bé’alma et nous pas :
– D’après le Rav Ovadia Yossef Zatsal
il faut le répondre et après continuer à répondre jusqu’à bé’alma,
– D’après le Rav Ben Tsion Aba Chaoul Zatsal
il ne faut pas le répondre et continuer jusqu’à bé’alma sans dire amen.
Il est mieux de dire les 28 mots sans en répéter mais si on a répété deux fois un mot par erreur ou par empressement, ce n’est pas un problème.
- Mieux vaut faire sa ‘Amida lentement avec kavana quitte à rater la kédoucha ou les amènim de la ‘hazara et même tous les kadichim jusqu’à la fin de la prière, barekhou inclus.
Idem à ‘arvit (et min’ha).
- Si on met une seule paire de tefillins à la fois, on préfèrera prendre une grande paire car forcément l’écriture y est plus précise et le risque que le carré des tefillins ne soit plus tout à fait rigoureux est moindre.
- Néanmoins, a priori on préfèrera ne pas prendre des tefillins trop grosses (celles qu’on appelle chimouch Rabba ou celles qu’emploient ‘habad) car très souvent étant trop grosses elles ne sont plus posées entièrement à l’endroit des tefillins, et pour ceux qui ont des petits bras ou une petite tête cela est un problème.
- Si on met les deux paires à la fois, on prendra des tefillins miniatures.
- Il est préférable d’avoir les lanières noires des deux côtés.
- Les séfaradim ne mettent pas les tefillins de Rabbénou Tam avant le mariage.
Il est bien que dès le mariage, ils les mettent.
La raison pour laquelle on n’autorise pas qu’une personne avant le mariage en porte est qu’étant donné que les tefillins de Rabbénou Tam sont extrêmement saints, il est très mauvais d’avoir une pensée impure de filles en les portants.
On considère qu’après le mariage il y a moins de risques qu’on ait type de pensées.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Si le chalia’h tsibour est déjà arrivé à bé’alma et nous pas :
– D’après le Rav Ovadia Yossef Zatsal
il faut le répondre et après continuer à répondre jusqu’à bé’alma,
– D’après le Rav Ben Tsion Aba Chaoul Zatsal
il ne faut pas le répondre et continuer jusqu’à bé’alma sans dire amen.
Il est mieux de dire les 28 mots sans en répéter mais si on a répété deux fois un mot par erreur ou par empressement, ce n’est pas un problème.
Idem à ‘arvit (et min’ha).
Il est bien que dès le mariage, ils les mettent.
La raison pour laquelle on n’autorise pas qu’une personne avant le mariage en porte est qu’étant donné que les tefillins de Rabbénou Tam sont extrêmement saints, il est très mauvais d’avoir une pensée impure de filles en les portants.
On considère qu’après le mariage il y a moins de risques qu’on ait type de pensées.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 26844
Date de création : 2013-11-06 13:11:39