Bonjour Rav.
Au début de sefer Chemouel, on voit qu’une bat kol est sortie pour annoncer la venue prochaine de "Chemouel".
Du coup, les femmes ont nommé à partir de là leurs fils qui naissaient, Chemouel.
J’ai deux questions à ce sujet :
– ne dit-on pas que la femme a rouah’ hakodesh au moment de nommer son enfant ?
Que penser à ce sujet pour les femmes de cette période ?
– est-ce que ‘Hanna a nommé son bébé Chemouel par rapport à la bat kol ou bien était-ce rouah’ Hakodesh ?
Merci.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Sarah,
Lorsque les parents choisissent un nom pour leurs enfants, il est clair que la Providence Divine y ait pour quelque chose.
Je ne sais pas si on peut appeler cela roua’h haqodéch mais néanmoins il y a certainement une chose qui ressemble à cela qui fait qu’ils choisissent plutôt un nom qu’un autre.
Tout cela bien sûr lorsqu’ils choisissent le nom en fonction d’une pulsion intérieure mais s’ils ont une bonne raison de donner un certain nom à un enfant, par exemple au nom du père du mari ou ensuite au nom du père de la femme bien que la Providence Divine aura voulu cela aussi, néanmoins elle ne va pas agir dans l’esprit des parents car de toute façon ils suivent la coutume de leur communauté d’appeler les enfants au nom de leurs parents.
Je pense que c’est quelque chose du même type ce qui est arrivé aussi à l’époque de Chmouel.
La bat kol était connue.
C’est vraisemblablement des tsadikim qui ont dévoilé cela au commun du peuple, qu’un tsadik au nom de Chmouel allait naître prochainement.
Donc toutes les mères qui étaient intéressées à ce que leur fils soit ce tsadik ont appelé leur nouveau-né Chmouel.
Je ne pense pas qu’il y avait en cela roua’h hakodéch.
Je pense aussi que c’est dans cette mesure que ‘Hanna a nommé son nouveau-né ainsi.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Chalom Sarah,
Lorsque les parents choisissent un nom pour leurs enfants, il est clair que la Providence Divine y ait pour quelque chose.
Je ne sais pas si on peut appeler cela roua’h haqodéch mais néanmoins il y a certainement une chose qui ressemble à cela qui fait qu’ils choisissent plutôt un nom qu’un autre.
Tout cela bien sûr lorsqu’ils choisissent le nom en fonction d’une pulsion intérieure mais s’ils ont une bonne raison de donner un certain nom à un enfant, par exemple au nom du père du mari ou ensuite au nom du père de la femme bien que la Providence Divine aura voulu cela aussi, néanmoins elle ne va pas agir dans l’esprit des parents car de toute façon ils suivent la coutume de leur communauté d’appeler les enfants au nom de leurs parents.
Je pense que c’est quelque chose du même type ce qui est arrivé aussi à l’époque de Chmouel.
La bat kol était connue.
C’est vraisemblablement des tsadikim qui ont dévoilé cela au commun du peuple, qu’un tsadik au nom de Chmouel allait naître prochainement.
Donc toutes les mères qui étaient intéressées à ce que leur fils soit ce tsadik ont appelé leur nouveau-né Chmouel.
Je ne pense pas qu’il y avait en cela roua’h hakodéch.
Je pense aussi que c’est dans cette mesure que ‘Hanna a nommé son nouveau-né ainsi.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 24378
Date de création : 2013-05-24 09:05:46
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