Chalom rav,
J’ai plusieurs questions à vous posez :
1) Comment faire si j’ai en ma possession une mezouza pas cachère et que je ne trouve pas de genizah sachant que l’on m’a dit qu’il n’est pas bien de la garder à la maison.
2) Si on loue une maison et que les locataires juifs ne veulent pas poser de mezouza comment faire ?
Les propriétaires sont ils encore astreint à cette mitsvah ?
3) Si j’ai dis ou pensais que je voulais donner de l’argent à une certaine institution est ce que au moment du don j’ai le droit, par manque de moyens, de prélever de l’argent de la boite de tsedaka appartenant à cette institution ou d’une boite de tsedaka anonyme.
4) Enfin, est ce que ca pose problème si pour le kiddouch de la nuit les bougies se sont éteintes mais qu’il y a une lumière allumée
Encore une fois merci rav pour tout ce que vous faites que D… vous bénisse.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Voici les réponses à tes questions :
1) Il faut enterrer la mézouza.
2) Qu’eux même enlève les mézouzot et te les donnent ; ils restent astreints à cette mitsva, mais ils ont le libre-arbitre de faire la avéra de ne pas mettre de mézouza.
3) Tu peux emprunter l’argent de la boîte de tsédaka, mais il faut rapidement le rembourser (mets un petit papier avec la somme que tu as empruntée dedans afin de ne pas oublier ce que tu dois).
4) On peut faire le kiddouch ainsi, mais indépendamment de cela, si personne n’a profité de la lumière des bougies, alors la berakha qui a été prononcée a été dite lévatala : il faut donc absolument que quelqu’un en profite une fois la nuit tombée.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Chalom,
Voici les réponses à tes questions :
1) Il faut enterrer la mézouza.
2) Qu’eux même enlève les mézouzot et te les donnent ; ils restent astreints à cette mitsva, mais ils ont le libre-arbitre de faire la avéra de ne pas mettre de mézouza.
3) Tu peux emprunter l’argent de la boîte de tsédaka, mais il faut rapidement le rembourser (mets un petit papier avec la somme que tu as empruntée dedans afin de ne pas oublier ce que tu dois).
4) On peut faire le kiddouch ainsi, mais indépendamment de cela, si personne n’a profité de la lumière des bougies, alors la berakha qui a été prononcée a été dite lévatala : il faut donc absolument que quelqu’un en profite une fois la nuit tombée.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 25172
Date de création : 2013-07-11 16:07:07