Kavod haRav
Voici quelques questions que je je me permets de vous poser.
Toda Raba pour vos réponses qui nous permettent de progresser dans notre avodat Hachem!
Que Hachem vous le rende en Berakhot et Sma’hot !
- Imaginons que j’arrive en retard (ce qui m’arrive, Baroukh Hachem, rarement mais c’est déjà trop!!) à la synagogue pour Cha’harit :
- Vaut-il mieux que je rattrape toute la prière au risque de na pas faire la Amida avec le Kahal ;
- Ou bien vaut-il mieux que je commence là où en est le Kahal, afin d’arriver à la Amida avec le Kahal et faire ce que je n’aurais pas fait après la prière de Cha’harit, après Alénou ?
- Si on est en retard par rapport au Kahal dans la Amida et qu’arrive la Kedoucha, le Modim de la Hazara, un Kaddich ou Birkat Cohanim :
- on s’arrête et on écoute en silence en ayant la Kavana d’être acquitté.
- Soit, mais doit-on faire ainsi où que l’on soit dans la Amida ou bien, attendre d’être au milieu ou à la fin de la Berakha ?
- Ex :
- On est dans “Ata Kadoch”, doit-on immédiatement s’arrêter dès que commence La Kedoucha, un Kaddich, Modim de la Hazara ou encore, Birkat Chanim ou nous faut-il attendre le milieu (même si La Kedoucha, un Kaddich, Modim de la Hazara ou encore, Birkat Chanim a déjà commencé) ou dire la fin de la Berakha,
- Par ex :
- “Baroukh Ata hakEl HaKadoch” et ensuit s’arrêter pour écouter la Kedoucha, le Kaddich ou Birkat Cohanim qui a déjà commencé ?
- on s’arrête et on écoute en silence en ayant la Kavana d’être acquitté.
- Qui a écrit “Nichmat Kol Haï” ?
- Doit on dire Ado et puis Naï ou plutôt Hachem (par ex dans : “Va Hachem er lo yanoum…” Ou encore “Léodot lera Hachem”) / Elo et Heynou ou plutôt Elo et Keynou (par ex dans : “Léodot lera Hachem Elokeynou”) quand on lit “Nichmat Kol Haï” hors prière de Chaharit chel Chabbat, pour remercier ou louer Hachem ?
- Et dans les Téhilim que l’on peut lire hors prière dans la semaine :
- Ado et puis Naï ou plutôt Hachem / Elo et puis Keynou ou plutôt Elo et puis Heynou ??
- Et dans les Téhilim que l’on peut lire hors prière dans la semaine :
- Dans la prière pour la Parnassa que l’on peut dire dans “Chéma kolénou” (comme marqué dans le Sidour) le mot entre parenthèse “דיקרנוסא” et dans le Léchem Yi’houd de keriyat Chéma Al Hamita “מרמ »ח / ושׁס »ה” :
- est-ce des noms d’Ange ou du moins des mots ou noms à ne pas lire, juste à penser dans sa tête ?
- Y aurait il des Kavanot particulières pour le Birkat Hamazone et si oui, quelles sont-elles ?
- On m’a dit qu’il était bon de dire le Tehilim 22 :
- “לַמְנַצֵּחַ עַל אַיֶּלֶת הַשַּׁחַר מִזְמוֹר לְדָוִד”
- Avant de faire quelque demande que ce soit à Hachem et en mentionnant le mérite de Mordékhaï et Esther (Zatsal) et plus particulièrement qu’il était bon de dire ce Téhilim 22 en mentionnant le mérite de Mordékhaï et Esther (Zatsal) avant de faire Nétilat Yadaïm et Motsi :
- Est-ce correcte ?
- Avant de faire quelque demande que ce soit à Hachem et en mentionnant le mérite de Mordékhaï et Esther (Zatsal) et plus particulièrement qu’il était bon de dire ce Téhilim 22 en mentionnant le mérite de Mordékhaï et Esther (Zatsal) avant de faire Nétilat Yadaïm et Motsi :
- “לַמְנַצֵּחַ עַל אַיֶּלֶת הַשַּׁחַר מִזְמוֹר לְדָוִד”
Toda Raba pour votre réponse!!
Kol Touv!
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Voici les réponses à tes questions :
- On saute certains passages et d’autres non.
- À ce titre, consulte le lien suivant.
- Il me semble qu’il y a une erreur :
- Lorsqu’on fait sa Amida, on n’est pas obligé de s’arrêter, que ce soit pour la kedoucha, modim, la ‘hazara, ou birkat Cohanim.
- Les seuls cas où l’on s’arrête sont lors de la kedoucha, si l’on entend distinctement la récitation du chalia’h tsibour, qu’il pense à nous rendre quittes et que nous pensions à nous rendre quittes.
- Idem pour le Kaddich.
- Aussi, si on se trouve entre l’avant-dernière et la dernière berakha de la Amida et qu’alors a lieu birkat Cohanim, on peut s’arrêter et répondre amen aux berakhot des Cohanim.
- On peut encore s’arrêter pour répondre à la kedoucha si l’on se trouve entre la deuxième et la troisième berakha de la Amida lorsque le chalia’h tsibour dit la kedoucha.
- Alors on répondra à la kedoucha avec le tsibour.
- Dans tous les autres cas, on continue sa Amida sans s’interrompre.
- « Anché Knesset HaGuédola », Les sages de la grande assemblée.
- On dit le vrai nom de D.ieu.
- On n’a pas le droit de prononcer le nom de l’ange Dikar et puis Noussa.
- En revanche, on peut prononcer Rama’h et Chassa car il ne s’agit pas de nom d’ange.
- Rama’h à la valeur numérique de 248
- (correspondant aux 248 mitsvot positives et aux 248 organes du corps)
- Chassa est égal à 365
- (correspondant au nombre de veines et tendons du corps humain et aux 365 mitsvot négatives).
- Rama’h à la valeur numérique de 248
- En revanche, on peut prononcer Rama’h et Chassa car il ne s’agit pas de nom d’ange.
- Concernant les kavanot particulières du birkat Hamazone, consulte le Ben Ich ‘Haï, Parachat ‘Houkat, alinéa 1, 2, 14, 15, 16, 17.
- Je ne connais pas cette ségoula.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 76760
Date de création : 2017-07-04 12:21:50