Bonjour Rav
Pendant un cours de Torah, comment doit on se conduire ?
- On n’a pas le droit de parler ou de rigoler ?
Peut-on parler de choses en rapport avec le cours en prenant le risque que ça dérive ? - Si quelqu’un nous parle innocemment comment faire ?
Merci beaucoup
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
- À propos du fait de parler pendant un cours de Torah, il y a deux problèmes qu’il faut prendre en considération :
- Si le chiour a lieu dans une Synagogue ou un Beth Midrach, il est interdit d’y dire des paroles profanes.
- Même si ce ne sont pas des paroles interdites telles que lachon hara etc…, puisqu’on est dans un endroit saint, on transgresserait par ces paroles la mitsva Déoraïta (l’injonction de la Torah) d’avoir la crainte du sanctuaire (Oumikdachi Tiraou).
- Car le Beth Midrach et la Synagogue sont considérés comme des petits sanctuaires.
C’est une mitsva très très importante, et hélas trop souvent délaissée dans les synagogues française.
- A voir agav …
- Cela peut déranger et même affaiblir le moral du Rav qui donne le cours, qui verrait que les gens ne sont pas attentifs à ce qu’il dit.
- Si quelqu’un nous parle pendant le cours, nous lui ferons gentiment un signe expliquant que nous voulons écouter le cours, que nous ne voulons pas en rater un seul mot.
- Et ainsi, nous nous sortirons élégamment d’affaire.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
- Si le chiour a lieu dans une Synagogue ou un Beth Midrach, il est interdit d’y dire des paroles profanes.
- Même si ce ne sont pas des paroles interdites telles que lachon hara etc…, puisqu’on est dans un endroit saint, on transgresserait par ces paroles la mitsva Déoraïta (l’injonction de la Torah) d’avoir la crainte du sanctuaire (Oumikdachi Tiraou).
- Car le Beth Midrach et la Synagogue sont considérés comme des petits sanctuaires.
C’est une mitsva très très importante, et hélas trop souvent délaissée dans les synagogues française.
- Car le Beth Midrach et la Synagogue sont considérés comme des petits sanctuaires.
- A voir agav …
- Même si ce ne sont pas des paroles interdites telles que lachon hara etc…, puisqu’on est dans un endroit saint, on transgresserait par ces paroles la mitsva Déoraïta (l’injonction de la Torah) d’avoir la crainte du sanctuaire (Oumikdachi Tiraou).
- Cela peut déranger et même affaiblir le moral du Rav qui donne le cours, qui verrait que les gens ne sont pas attentifs à ce qu’il dit.
- Et ainsi, nous nous sortirons élégamment d’affaire.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 76400
Date de création : 2017-06-11 10:34:01