Chalom,
Je ne sais pas « quand » et « comment »exactement faut il penser être acquitté.
Je m’explique :
- Je sais que lorsque que quelqu’un fait une berakha (motsi, haguefen…), pour pouvoir manger le pain il faut que lui pense nous acquitter et que nous être acquitter.
- Mais qu’est ce que pensez être acquitter exactement ?
Depuis toujours je ne me suis jamais dit avant le haguefen « attention je pense être acquitté » mais tout simplement au fond de moins même sans y penser je savais que si je ne répondais pas amen et que mon père n’avait pas fini la berakha je ne pouvais ni parlais ni boire une goutte de vain.
- J’ai l’impression que le terme » penser être acquitté » n’est pas à prendre au mot près.
Ai je raison ?- On n’est pas obliger de penser à cela a chaque fois, on le sait au plus profond de nous.
Maintenant pour revenir à la question du quand faut il penser être acquitté :
- Lors de la répétions d’une Amida à chaque berakha ?
Après tout on la déjà fait la Amida. - Lors de la kedoucha ?
- ou juste le fait de dire kadoch kadoch…. ça suffit ?
- Si dans la kedoucha (s’il faut penser être acquitté) si je ne dis pas le phrase non écrite en gras dois je penser être acquitter de celle ci ?
- Dans le vayaavor al panavv ?
- Chaque kaddich ?
Après tout il faut juste répondre amen ? - Chaque barekhou hamevorakh?
J’espère que dans le cas ou il faudrait penser être acquitter dans tout ce que j’ai cité , la manière que j’ai dit ( ou j’ai dit que au plus profond de nous même sans y penser on sait que sans la celui qui a voit haute on ne peut rien faire) est valable.
Je me vois mal à chaque kedoucha , kaddich …. Dire attention on m’acquitte
Merci
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Quand quelqu’un nous rend quitte pour le kiddouch, le guéfen ou le hamotsi ou toute autre bénédiction, nous devons absolument penser avant la berakha que nous serons acquittés par la berakha,
- Il ne suffit pas de penser qu’on ne pourra pas manger avant qu’il finisse sa berakha
- ou qu’il faut répondre amen
(même si on n’a pas répondu amen mais qu’on a pensé être acquitté alors on est acquitté, bien qu’on ait l’obligation de répondre amen indépendamment de cela).
Par contre pendant la répétition de la ‘Amida, pendant la kédoucha, Barékhou ou le kadich, on n’a absolument pas besoin de penser être acquitté, il faut seulement répondre ce qu’on a à répondre, et c’est tout.
- Si par contre, nous sommes au milieu de notre ‘Amida et de ce fait nous ne pouvons pas dire la kédoucha,
il y a néanmoins un moyen d’en être quitte en pensée.
- Comment ?
- Quelqu’un proche de nous ou le chalia’h tsibour peut nous rendre quitte de la kédoucha :
- Il la dira à haute voix de façon à ce que nous l’entendions distinctement,
- nous devrons penser qu’il nous rend quitte,
- et lui devra penser qu’il nous rend quitte
- et cela suffit.
Au Revoir,
Rav Ron Chaya
(même si on n’a pas répondu amen mais qu’on a pensé être acquitté alors on est acquitté, bien qu’on ait l’obligation de répondre amen indépendamment de cela).
il y a néanmoins un moyen d’en être quitte en pensée.
- Comment ?
- Quelqu’un proche de nous ou le chalia’h tsibour peut nous rendre quitte de la kédoucha :
- Il la dira à haute voix de façon à ce que nous l’entendions distinctement,
- nous devrons penser qu’il nous rend quitte,
- et lui devra penser qu’il nous rend quitte
- et cela suffit.
- Quelqu’un proche de nous ou le chalia’h tsibour peut nous rendre quitte de la kédoucha :
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 31912
Date de création : 2014-09-22 07:39:26