Kvod HaRav,
- Comment pourrais-je faire ma tefila (notamment la Amida), en hiver lorsque je pars travailler avant l’heure minimum et que je rentre la nuit tombée ?
(Je suis une femme) - Parfois on assiste à la havdala de la synagogue.
Est-ce un problème de ne pas pouvoir faire refléter la flamme sur ses mains ?
Respectueusement
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Voici les réponses à vos questions :
- Vous pouvez faire votre Amida en position assise dans les transports en commun s’il n’y a pas d’autre possibilité.
Sinon, ne faites que Arvit,
et le matin, faites birkot hacha’har et le kéryiat Chéma mais pas la Amida.
Vous ne la ferez que dans la prière de Arvit, une fois que vous serez rentrée chez vous.
- Il faut qu’on soit suffisamment proche de la flamme de telle sorte que s’il faisait complètement noir, on aura la possibilité, grâce à la lumière de la flamme, de faire la différence entre la chair de notre doigt et nos ongles.
Donc si vous vous trouvez trop loin de la flamme de telle sorte que vous n’auriez pas pu profiter de sa lumière si l’obscurité avait été totale comme je l’ai expliqué, vous n’êtes pas acquittée.
La solution :
Allez près de la bougie après la Havdala (ou allumez-en une à la maison) et récitez la berakha, car il n’est pas obligatoire de réciter les berakhot dans cet ordre précis.
A la synagogue, vous serez donc acquittée de trois berakhot (celle sur le vin, celle sur les senteurs et celle qui clôture la Havdala),
et vous ferez ensuite vous-même la berakha sur la flamme.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Sinon, ne faites que Arvit,
et le matin, faites birkot hacha’har et le kéryiat Chéma mais pas la Amida.
Vous ne la ferez que dans la prière de Arvit, une fois que vous serez rentrée chez vous.
Donc si vous vous trouvez trop loin de la flamme de telle sorte que vous n’auriez pas pu profiter de sa lumière si l’obscurité avait été totale comme je l’ai expliqué, vous n’êtes pas acquittée.
La solution :
Allez près de la bougie après la Havdala (ou allumez-en une à la maison) et récitez la berakha, car il n’est pas obligatoire de réciter les berakhot dans cet ordre précis.
A la synagogue, vous serez donc acquittée de trois berakhot (celle sur le vin, celle sur les senteurs et celle qui clôture la Havdala),
et vous ferez ensuite vous-même la berakha sur la flamme.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 84051
Date de création : 2018-10-21 13:38:34