Le premier jour, les 3 premières heures Hachem nous juge…

 

Urgent sur Rosh Hashana :

Kvod Harav je viens de voir votre dernier cours sur Roch Hachana et j’ai deux questions :

  1. Pendant le cours vous avez évoqué un point puis vous l’avez ensuite perdu, il me semble que vous vouliez parler de l’importance du 2ème jour car vous avez commencé par « le premier jour, les 3 premières heure Hachem nous juge… » Et après vous êtes parti sur autre chose suite a une question.
    J’aimerai si c’est possible savoir ce que vous alliez dire
  2. Question technique:
    Lors de la Amida, si on pris plus lentement que le chalia’h tsibour on doit s’arrêter pendant le chofar, ok, mais doit-on dire après avec le kaal « ayom arat olam ».
    Et si oui doit on le répéter une fois qu’on arrive a ce passage.

Toda, chana tova

Réponse du Rav Ron Chaya : 

 

Chalom Yéhouda,

Voici les réponses à tes questions :

  1. Effectivement, j’ai perdu le fil :
    • J’ai commencé par dire que pendant la sonnerie du chofar, on est extrêmement touché, et que hélas, à mesure qu’on en entende pendant la prière, le premier, puis le second jour, cela ne nous fait plus beaucoup d’effet, et c’est dommage car D. juge les 3 premières heures du jour les deux jours de Roch Hachana, et il est écrit que lorsqu’on se sent touché et bouleversé, c’est à ce moment même que D. nous juge.
      Il est écrit aussi que le premier jour, le jugement est dur, alors que le second jour, le jugement est doux…

      • Donc si on peut être jugé le second jour, c’est préférable, mais hélas, on est d’habitude plus touché le premier jour que le deuxième.
  2. Si on ne se trouve pas en même temps que le public à « hayom harat olam », on ne le dit pas avec eux ;
    • par contre, on le dit quand on arrive à ce passage dans notre propre Amida.

Ketiva vé-‘Hatima Tova.

Au revoir,
Rav Ron Chaya

Référence Leava : 25956
Date de création : 2013-09-02 21:09:42