Chalom Rav,
- Pouvez-vous me traduire l’expression « Dieu de nos pères » en hébreu svp ?
- Pouvez-vous m’expliquer ce passage du Sidour :
Nous voulons te sanctifier et te magnifier, à la manière du délicieux murmure mystérieux des saints séraphins qui triplent pour toi la sanctification ? - Dans le Sidour, il y a des passages à lire exclusivement à Roch Hodesh, Souccot, etc…
Y’a-t-il un impact spirituel de faire la lecture en ces jours, ou est-ce pour marquer les temps ? - Qu’est-ce que « h’ol hamo’ed » ?
- Peut-on faire le quadich tout seul également ? ou exclusivement en groupe ?
- Pouvez-vous m’expliquer :
Sois béni, ô Éternel, notre Dieu, Roi du monde, qui nous a sanctifiés par la sainteté d’Aaron ?
Merci
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Voici les réponses à tes questions :
- Éloké Avoténou (à la place du k, on prononce « h ») mais on n’a pas le droit de dire cela hors du cadre d’une prière.
- Les anges louent Hachem en disant « Kadoch, Kadoch, Kadoch », « Tu es saint, saint, saint ».
À l’instar des anges, nous disons également cela deux fois par jour.
- La prière a un impact spirituel en ces jours.
- On appelle cela en français des demi-fêtes.
Sa traduction littérale est « partie profane de la fête ».
Il s’agit des jours qui se trouvent entre le premier et le dernier jour de Pessa’h ainsi qu’entre le premier et le dernier jour de Souccot.
On a le droit pendant ces jours de faire certaines actions qui sont interdites pendant yom tov bien que toutes ne soient pas autorisées pour autant.
- On ne peut faire le Kaddich que si 10 juifs pratiquants sont présents.
- Cette bénédiction est prononcée par les Cohanim avant qu’ils ne bénissent le peuple.
Ils ont une certaine sainteté reçue par leur ascendance remontant jusqu’à Aharon le pontife qui l’a reçue d’Hachem, comme cela est relaté dans la Torah, début de Parachat Emor.
(Vaykra, chapitre 21).
Au revoir,
Rav Ron Chaya
À l’instar des anges, nous disons également cela deux fois par jour.
Sa traduction littérale est « partie profane de la fête ».
Il s’agit des jours qui se trouvent entre le premier et le dernier jour de Pessa’h ainsi qu’entre le premier et le dernier jour de Souccot.
On a le droit pendant ces jours de faire certaines actions qui sont interdites pendant yom tov bien que toutes ne soient pas autorisées pour autant.
Ils ont une certaine sainteté reçue par leur ascendance remontant jusqu’à Aharon le pontife qui l’a reçue d’Hachem, comme cela est relaté dans la Torah, début de Parachat Emor.
(Vaykra, chapitre 21).
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 80570
Date de création : 2018-02-19 21:51:29