Pourquoi ne trouve t’on pas un seul fossile de lapin ou de poule dans des couches géologiques datées de l’ère secondaire ?

Bonjour Rav,

Le monde ayant été créé par D.ieu, selon sa volonté et d’une seule traite :

Pourquoi ne trouve t’on pas un seul fossile de lapin ou de poule dans des couches géologiques datées de l’ère secondaire ?
Ce qui invaliderait au passage l’idée d’évolution des espèces…

Merci

 

Réponse du Rav Ron Chaya : 

Chalom,

J’ai transmis ta question au Rav Mordekhaï Bitton et voici la réponse qu’il m’a envoyé :

Réponse :

Ce que l’on retrouve dans les couches n’a rien à voir avec l’instant de la création ou de l’apparition de l’objet fossilisé.

D’une manière plus générale, les couches ne témoignent de rien en elles-mêmes ; en effet, on est assez unanimes aujourd’hui pour poser les constats suivants :

  1. On retrouve dans de très nombreuses couches des objets, des animaux ou des restes humains qui n’ont rien à y faire, d’après la liturgie évolutionniste.

    Je vous renvoie à l’excellent livre du rav Zamir Cohen (La révolution 2 ; p.179, édition française), qui cite un livre intitulé « l’archéologie interdite », qui lui-même traite de ces question.

    Quelques exemples :

    –          en Ostdaline (Afrique du Sud), on a retrouvé des boules de fer ornées de lignes parallèles, dans les couches du Pré-Cambrien (3 milliards d’années( !)).
    Autrement dit, des objets conçus par des humains, dans des couches où l’on ne devrait trouver que des primo-organismes, d’après le schéma évolutionniste darwinien.

    –          A Guillman (Colorado, USA) et à London (Texas, USA), on a retrouvé des pointes de flèches en cuivre et des ossements humains dans des couches du Crétacé (135 millions d’années ( !)), correspondant au règne des dinosaures.
    Or ceux-ci sont censés avoir vécu avant les humains, et avoir disparu lors d’un cataclysme mondial subit (ça ne vous rappelle rien ?), avant l’apparition du premier hominidé, toujours d’après le schéma darwinien.

    –          Au nouveau Mexique, dans des couches datées de 150 millions d’années, dans lesquelles on ne devrait retrouver que des traces de végétaux, de petits mammifères (les voici, vos fossiles de chiens ou de lièvres !), d’oiseaux, de lézards et d’animaux marins, on retrouve des empreintes de pieds humains aux côtés d’empreintes de dinosaures !!!

    J’arrête ici la liste non-exhaustive de ces invraisemblances, pour passer à ma deuxième remarque.

  2. Les couches géologiques sont en elles-mêmes un grand cri de protestation contre les théories géologiques qui ont guidé Charles Lyell (1797-1875), le père (pas du tout spirituel) de Darwin.
    Celui-ci tenait en effet l’idée que les couches s’étaient formées en s’amoncelant les unes sur les autres.

    Par ailleurs, il tenait pour acquis que l’évolution s’était faite tranquillement, dans un processus continu, que rien n’avait jamais bouleversé.

Lyell, et à sa suite ceux qui ont repris le credo darwinien, ont bâti une « échelle stratigraphique » qui partait du point suivant :

  • Les roches cristallines sont les plus anciennes,
  • Puis viennent par-dessus les couches consolidées (dites secondaires ;
    celles dans lesquelles d’après vous on ne trouve pas de fossiles de chiens, de poulets, ou de renards (pourquoi pas ?)),
  • Puis plus tard les couches dites meubles formées de sédiments alluviaux, dites tertiaires.

Or la tectonique des plaques, dont la connaissance a fait des bonds gigantesques depuis le milieu du 19ème siècle, montre que les dites plaques se sont formées aux cours de mouvements latéraux, sans jamais se superposer les unes aux autres.
Elles sont nées d’un continent initial (appelé le bon vieux continent rouge), qui s’est scindé à la suite d’un cataclysme planétaire (ça ne vous rappelle rien ?) daté de 70 millions d’années, en fonction de procédés de datation qui n’ont aucun caractère absolu.

Ils partent en effet du principe qu’une dose d’argon ou de carbone 14 présentes dans un corps ou un objet peuvent témoigner sur la quantité présente dans ledit objet quelques « millions d’années » auparavant.

De plus, la radio datation est pratiquement impossible à pratiquer sur les roches, et ce, pour une simple raison :

  • Les roches sont extrêmement réactives aux solutions aqueuses.
    Les tentatives de datation faite sur des roches donnent toujours des âges disparates.
  • L’éruption du volcan Ngauruhoe, en 1948, en Nouvelle-Zélande a par exemple été l’occasion d’un exercice de datation ; on leur a donné quelques millions d’années, alors qu’elles n’avaient que quelques années.
    On terminera en rappelant que les mêmes dépôts interprétés par Lyell comme des signes de longue durée, se forment en des temps très courts en milieu cataclysmique.

Ce qui nous conduit à dire que le scénario du déluge est bel et bien confirmé par l’étude des roches et des couches sédimentaires alors, que le scénario darwinien souffre toujours d’une maladie persistante : confronté aux faits, il n’est pas en mesure de produire des preuves

  • Même cause et mêmes effets pour le volcan Sainte-Hélène (USA) en 1986.
    La datation des roches a donné des résultats allant de 500 000 ans à 3000 000 d’années, alors qu’elles n’ont que quelques dizaines d’années.

Autre phénomène intéressant :

  • Les couches elles-mêmes sont en « désordre » dans de nombreux endroits de la planète.
    C’est le cas, pour une région proche de la France, dans les Alpes suisses (Mt Matterhorn), où l’on trouve des roches datant de « 300 millions d’années » sous les glaces du sommet de la montagne, elles-mêmes posées sur des roches datées de « 200 millions d’années », elles-mêmes au repos sur des couches allant de « 2 à 65 millions d’années ».

    Ce cas n’est pas unique, mais il suffit à vous montrer qu’aucune des données véhiculées par les évolutionnistes n’a de caractère absolu.

Bien au contraire, les bases de la datation, de l’étude des roches part toujours du postulat que la théorie de l’évolution dit vrai, que nous étions tous des algues marines ou des corps unicellulaires, et que nous avons évolué…

Conclusion :

  • On trouve des fossiles de toutes sortes d’animaux, dans toutes les strates géologiques.
  • On trouve également des ossements humains, animaux et des fossiles de végétaux dans des charniers qui sont vraisemblablement le résultat du déluge.

Ces découvertes ne signifient rien quant à leurs âges.

Par contre, elles infirment dans une grande majorité de cas les présupposés darwiniens, et ce qui en découle :

  • L’emplacement d’un fossile, ainsi que le positionnement de la couche dans laquelle on l’a trouvé, témoigneraient de son âge.

Cette dernière proposition fait partie du rayon le plus achalandé du supermarché évolutionniste :
Celui des pieux mensonges posés et véhiculés comme des évidences absolues, alors qu’il ne s’agit que de données subjectives.

Mordékhaï Bitton

Au revoir,
Rav Ron Chaya

 

Référence Leava : 32313
Date de création : 2014-11-14 09:39:07