Chalom rav,
Le 5e chapitre de la massekhet Berakhot se termine en nous enseignant que ce n’est pas bien de raconter nos averot parce que c’est comme si qu’on avait pas honte d’elles et qu’on s’en enorgueilli d’elles en quelques sorte.
J’aimerais savoir à présent si dans une conversation privée dans le but de renforcer la personne qui est en face de nous, nous pouvons les raconter (bien sûr en gardant en tête ce non-désir total de la refaire) ; le seul but étant uniquement le renforcement de notre ami.
Merci de votre réponse,
A bientôt avec Machia’h si D. Veut.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Il me semble que cela est permis car la personne en face comprend que l’on ne veut pas se vanter de nos péchés, on veut tout simplement lui faire comprendre que nous avons été dans la même situation qu’elle et qu’en agissant comme nous lui conseillons, nous avons réussi à nous en sortir.
Il s’agit donc vraiment d’une aide et non d’une expression d’orgueil.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Il s’agit donc vraiment d’une aide et non d’une expression d’orgueil.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 76992
Date de création : 2017-07-17 00:27:06
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