Bonjour Rav,
En lisant dans plusieurs sidourim séfarades différents, je me suis rendu compte qu’il y a souvent des différences au niveau des mots avec la deuxième personne du singulier.
Par exemple :
- A la fin de la Amida dans Élohai Nétsor,
- on trouve tantôt « osse lema’an shémékha »
- (par exemple dans Ich Matslia’h)
- tantôt « osse lema’an shémakh »
- (dans Yé’havé Da’at),
- on trouve tantôt « osse lema’an shémékha »
- Même chose avec
- « yéminékha/yéminakh »,
- « toratékha/toratakh »,
- etc.
- et ce dans pleins d’endroits différents de la prière.
Quelle est la raison de cette différence ?
Il y a-t-il une forme préférable ?
Merci pour tout ce que vous faites
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Naël,
Effectivement, cette différence existe.
Il s’agit de coutumes, et dans cette mesure je ne peux pas trancher ce qui est préférable.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Il s’agit de coutumes, et dans cette mesure je ne peux pas trancher ce qui est préférable.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 87927
Date de création : 2019-11-03 22:44:00