Mon mari déteste le vin , sur quoi doit il faire le Kiddouch le Chabat et sur celui de la Havdala ?

Kvod Harav,

J’ai plusieurs questions, merci d’avance pour vos réponses :

1. Mon mari déteste le vin , sur quoi doit il faire le Kiddouch le Chabat et sur celui de la Havdala ?
   • Peut-il faire Kiddouch sur le jus de raisin, dit 100% , car nous avons entendu qu’il y avais un problème même dessus (et même ceux avec de bons hékhchérim séfarade
2. L’homme est-il ‘hayav de faire les Korbanot a la bet haKnesset ?
   • En est il dispensé ?
     • Mon mari ne fait jamais cet partie , commence toujours sa téfila a « Hodou » et me dit qu’il n’a jamais eu l habitude de faire autrement.
   • A-t-il le droit ?
     • Que doit il faire a présent ?
3. Est-il assour totalement d utiliser des lingettes de bébé Chabbat ?
   • N y a t il aucun Possekim qui l autorise ?
4. Sur kiboud orim :
   • Mes parents sont chez moi Chabbat ; à table, qui dois-je servir le premier ?
     • Mon mari
       ou
     • mon père ?
   • Dans le cas ou mes beaux parents sont présents avec mes parents et bien entendu mon mari , qui je sers en premier ?
     • Quel est l ordre ?

Merci encore et rak bessorot tovot

Chalom,

Voici les réponses à tes questions :

1. Votre mari peut faire le Kiddouch et la Havdala sur le jus de raisin.
2. Normalement, il faut faire les Korbanot ;
   • si c’est dur pour lui, qu’il commence à faire au moins les parties essentielles, comme expliqué ici.
3. Le problème des lingettes est le suivant :
   • Au début, les Possekim ont compris que ces lingettes étaient en fibres synthétiques, et si c’est ainsi, on peut autoriser leur utilisation.
     • Mais après des recherches poussées par des spécialistes en tissus micro-cellulaires, il s’avère qu’il y a un mélange de tissus dans ces lingettes.
       • Dès lors, leur utilisation est interdite. Je ne sais pas s’il y a des Possekim qui les autorisent.
4. Dans tous les cas, il est préférable que vous serviez vos parents ou les parents de votre mari en premier, mais que votre mari vous en donne l’autorisation auparavant (une fois pour toute la vie suffit).

Au revoir,
Rav Ron Chaya