Kvod Arav, Chalom,
J’espère que vous vous portez bien.
- Si j’ai bien compris, lors d’un mariage un couple de divorcé il y aura lieu aux 7 bera’hot que durant le repas juste après la ‘houpa.
Est-ce bien ça ?Et uniquement 2 bera’hot le repas suivant ?
Est bien ça ?Et durant la ‘houpa, combien de bera’hot ?
- J’ai entendu dire, que pour ce même couple, le Choulkhan Aroukh précise qu’il y aura tout de même lieu à 3 jours de réjouissance.
Si c’est exact, qu’entend-on par réjouissance ?
Que faut-il faire ?
Je vous remercie.
Chavoua tov
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
- Vous avez bien compris.
Lors d’un mariage d’un couple de divorcés, on ne dira les sept brakhot qu’après le repas qui aura lieu directement après la ‘houpa.
Ce, à condition que ce repas ait lieu le même jour qu’a lieu la ‘houpa.
Si la ‘houpa a eu lieu en fin d’après-midi, et le repas n’a commencé qu’après la sortie des étoiles, on ne pourra plus dire ces berakhot.
Il va de soi que sous la ‘houpa, on dira aussi les sept berakhot du mariage.
Lors des autres repas qui ont lieu le même jour que le mariage, c’est-à-dire avant la tombée de la nuit, on ne fera plus que deux brakhot.
- Il est vrai qu’après un mariage d’un couple de divorcés, les réjouissances dureront trois jours.
En quoi consiste ces réjouissances ?
Durant tous les repas où l’on fera zimoun en raison de la présence de trois hommes au moins, on ajoutera : « baroukh chéhasimha bim’ono ».
De plus, les deux conjoints n’auront pas le droit de travailler durant ces 3 jours.
Ils devront se concentrer sur la mitsva de réjouir son conjoint sans vaquer à aucune autre occupation.
Il va de soi qu’ils pourront réaliser des petites tâches ménagères ou autres occupations qui ne prennent pas trop de temps, mais ils devront réserver ces trois jours principalement à se réjouir l’un l’autre.
Que D.ieu vous bénisse et vous aide à créer un mariage de lumière, d’amour, de compréhension mutuelle, de paix et que la Chekhina demeure dans votre couple, amen.
Pessa’h Cacher vésaméa’h
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Lors d’un mariage d’un couple de divorcés, on ne dira les sept brakhot qu’après le repas qui aura lieu directement après la ‘houpa.
Ce, à condition que ce repas ait lieu le même jour qu’a lieu la ‘houpa.
Si la ‘houpa a eu lieu en fin d’après-midi, et le repas n’a commencé qu’après la sortie des étoiles, on ne pourra plus dire ces berakhot.
Il va de soi que sous la ‘houpa, on dira aussi les sept berakhot du mariage.
Lors des autres repas qui ont lieu le même jour que le mariage, c’est-à-dire avant la tombée de la nuit, on ne fera plus que deux brakhot.
En quoi consiste ces réjouissances ?
Durant tous les repas où l’on fera zimoun en raison de la présence de trois hommes au moins, on ajoutera : « baroukh chéhasimha bim’ono ».
De plus, les deux conjoints n’auront pas le droit de travailler durant ces 3 jours.
Ils devront se concentrer sur la mitsva de réjouir son conjoint sans vaquer à aucune autre occupation.
Il va de soi qu’ils pourront réaliser des petites tâches ménagères ou autres occupations qui ne prennent pas trop de temps, mais ils devront réserver ces trois jours principalement à se réjouir l’un l’autre.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 75400
Date de création : 2017-03-29 14:30:42