Lachon Hara

Etude du Jour - Numéro 52

Qu’Hachem apporte la guérison à tous les malades d’Israël et protège tout son peuple de cette épidémie et envoie le Machiah

Les règles lorsqu'on veut faire une affaire.

Si deux personnes s’apprêtent à s’associer dans une affaire, il est permis de révéler à l’une que la seconde est quelqu’un de mauvais, susceptible de lui porter préjudice, sous réserve des conditions requises : Il le sait de manière certaine. Il n’exagère pas. Son intention est constructive. Il n’a pas d’autre moyen de parvenir à ses fins. Il ne causera pas ainsi de préjudice mais simplement un manque à gagner. Dès lors qu’ils se sont associés, il sera permis de rapporter les faits seulement si l’associé averti ne causera pas de tort à son partenaire – en mettant fin à l’association par exemple, mais se contentera de veiller à ce que celui-ci ne lui porte pas préjudice. Il est interdit de conseiller à quelqu’un de s’associer avec une certaine personne, si l’on sait que cette association peut lui causer une perte.

Lachone Hara avec permission

Il est permis de rapporter à un individu les défauts du jeune homme envisagé comme époux pour sa fille s’il n’en n’a pas connaissance dans le cas où l’on est sûr que s’il en avait eu connaissance, il n’aurait pas envisagé le chiddoukh (proposition de mariage), sous réserve de certaines conditions. Le fait que le jeune homme soit naïf et pas très vif n’est pas considéré comme un défaut et il est interdit de lui faire une mauvaise réputation de ce fait. Il est de même interdit de mépriser un des deux parties à cause d’actes peu recommandables commis par leurs ancêtres.

Pour L’élévation de l’âme de Hanna Lina Bat Lola Laure za’l