Qu’Hachem apporte la guérison à tous les malades d’Israël et protège tout son peuple de cette épidémie et envoie le Machiah
Les règles lorsqu'on veut faire une affaire.
Si deux personnes s’apprêtent à s’associer
dans une affaire, il est permis de révéler à l’une
que la seconde est quelqu’un de mauvais,
susceptible de lui porter préjudice, sous réserve
des conditions requises :
Il le sait de manière certaine.
Il n’exagère pas.
Son intention est constructive.
Il n’a pas d’autre moyen de parvenir à ses fins.
Il ne causera pas ainsi de préjudice mais
simplement un manque à gagner.
Dès lors qu’ils se sont associés, il sera permis de
rapporter les faits seulement si l’associé averti ne
causera pas de tort à son partenaire – en mettant
fin à l’association par exemple, mais se contentera
de veiller à ce que celui-ci ne lui porte pas
préjudice.
Il est interdit de conseiller à quelqu’un de s’associer
avec une certaine personne, si l’on sait que cette
association peut lui causer une perte.
Lachone Hara avec permission
Il est permis de rapporter à un individu les
défauts du jeune homme envisagé comme époux
pour sa fille s’il n’en n’a pas connaissance dans le
cas où l’on est sûr que s’il en avait eu
connaissance, il n’aurait pas envisagé le chiddoukh
(proposition de mariage), sous réserve de
certaines conditions.
Le fait que le jeune homme soit naïf et pas très vif
n’est pas considéré comme un défaut et il est
interdit de lui faire une mauvaise réputation de ce
fait.
Il est de même interdit de mépriser un des deux
parties à cause d’actes peu recommandables
commis par leurs ancêtres.
Pour L’élévation de l’âme de Hanna Lina Bat Lola Laure za’l