Qu’Hachem apporte la guérison à tous les malades d’Israël et protège tout son peuple de cette épidémie et envoie le Machiah
Comportement face à une personne "Bénoni"
S’il a vu une personne moyenne, qui s’abstient
généralement de la plupart des péchés, commettre
un péché volontairement, son attitude doit être la
suivante.
S’il peut la juger favorablement, en disant par
exemple qu’elle n’était pas consciente de la gravité
de la faute, etc., il doit le faire et il est interdit de
publier son péché ou de la détester.
S’il semble que la personne est consciente de la
gravité de l’interdiction et la transgresse
intentionnellement mais qu’elle fait attention aux
autres péchés, il lui est interdit de le publier.
Cependant, il doit la réprimander en tête à tête avec
douceur.
A plus forte raison s’il s’agit d’un sage en Torah : il
est interdit d’avoir ne serait-ce que des pensées
négatives à son égard car il est certain qu’il a fait
téchouva et s’est repenti.
Quand aller au tribunal rabinique?
Si deux personnes voient quelqu’un
commettre un péché et que celui-ci déteste la
réprimande et risque fort de fauter à nouveau, elles
ne sont autorisées à en faire part qu’aux juges
rabbiniques de la ville ou aux proches parents de
cet individu afin que ceux-ci le punissent et l’
éloignent du péché.
Par contre, une personne seule n’est pas autorisée à
raconter, car elle n’est pas valide, mais elle est
autorisée à en parler à son maître si elle sait que
celui-ci la croira au même titre que deux témoins.
Le maître, par contre, n’est pas autorisé à raconter
les faits à d’autres.
Et il semble que même si le maître ne garde pas
tellement le secret, si cela peut aider à séparer
l’individu en question du péché, il aura le droit de lui
raconter.
Pour L’élévation de l’âme de Hanna Lina Bat Lola Laure za’l