Qu’Hachem apporte la guérison à tous les malades d’Israël et protège tout son peuple de cette épidémie et envoie le Machiah
S’il voit une personne commettre un acte qui
peut être interprété dans les deux sens, la règle est
la suivante:
S’il s’agit d’une personne qui craint D., il a le devoir
de la juger positivement et ce, même s’il semblerait
plus logique de la juger défavorablement.
Si c’est une personne moyenne et que son acte
peut être interprété aussi bien positivement que
négativement, c’est une obligation de la juger
favorablement et il est interdit de médire d’elle.
Mais s’il est clair qu’elle a commis une faute, il
convient de lui accorder le bénéfice du doute.
Même lorsqu’il est autorisé à la considérer
coupable, il n’a pas le droit d’en faire part à
d’autres, à moins que toutes les conditions
expliquées par la suite soient réunies.
Il est interdit de dire du mal son prochain.
Cet interdit ne s’applique pas seulement à des
propos n’ayant pas véritablement une connotation
péjorative comme par exemple raconter les
mauvaises actions de ses ancêtres.
Mais même s’il l’a vu de ses yeux commettre un
péché envers D., il n’a pas le droit de le raconter.
Cet interdit est valable s’il l’a vu commettre un
péché, peu importe si celui-ci est connu pour être
très grave ou pas.
Et même s’il s’agit d’une chose dont nos sages ont
commandé de s’abstenir seulement à priori, il n’a
pas le droit de le divulguer.
Pour L’élévation de l’âme de Hanna Lina Bat Lola Laure za’l