L'homme et son prochain

Etude du Jour - Numéro 62

Qu’Hachem apporte la guérison à tous les malades d’Israël et protège tout son peuple de cette épidémie et envoie le Machiah

Ne pas placer d'embûche devant l’aveugle - Suite

Lorsqu’un enfant consomme un aliment interdit, le Beth Din est tenu de l’éloigner de la faute

Il est également interdit, à tout homme, d’aider un enfant à commettre une faute.

Il est non seulement défendu de donner à un enfant une chose interdite, mais même une chose qui pourrait le conduire à la faute. 

Cette loi est également vraie pour un adulte, auquel on ne fournira pas une chose pouvant le conduire à fauter. 

Par exemple, on ne donnera pas de Hamets, peu avant le début de pessah, à une personne susceptible d’en manger après le début de la fête.

Être la cause d’une embûche



On doit également s’efforcer de ne pas être la cause de la faute d’autrui. 

Ainsi on ne doit pas engendrer de situation qui pourrait amener autrui à fauter.

Il est vrai qu’en règle générale, on n’exige pas de quelqu’un qu’il faute pour qu’autrui en tire avantage. 

Dans certains cas très particuliers et peu nombreux, il est préférable d’enfreindre soi-même un interdit mineur, afin d’éviter qu’un autre enfreigne un interdit grave par notre faute. 

Cependant on devra toujours demander à un Possek Halakha (qui est habilité à juger de la loi juive) avant de rentrer dans ce genre de situation.

Pour L’élévation de l’âme de Hanna Lina Bat Lola Laure za’l