L'homme et son prochain

Etude du Jour - Numéro 5

Qu’Hachem apporte la guérison à tous les malades d’Israël et protège tout son peuple de cette épidémie et envoie le Machiah

Des exemples:

Si un homme ordinaire a fauté, nous devrons considérer qu’il s’est certainement repenti et, s’il a fauté envers autrui, qu’il a déjà demandé pardon (surtout si Yom Kippour est déjà passé entre-temps). 

Si le juste suspecté (Talmid Hakham également) est connu pour sa piété et sa crainte du ciel, il a droit au bénéfice du doute plus que tout autre homme. Tant que nous ne sommes pas sûrs qu’il a fauté volontairement et en connaissance de cause, par exemple, si l’on peut envisager qu’il a été contraint d’agir de cette manière ou encore qu’il pensait bien faire, il est alors nécessaire de le juger de manière positive.

Et ceci, même si cette interprétation des faits peut sembler difficile à concevoir. 

Si on le voit clairement transgresser un interdit durant la nuit, dès le lendemain matin, on aura la conviction qu’il s’est certainement repenti entre temps, parce que la transgression d’une seul faute ne nous permet pas de lui ôter son statut de juste.

Juger et réprimander autrui

 La mitsva de juger autrui positivement et la mitsva de réprimander son prochain s’appliquent seulement aux personnes de notre connaissance que l’on aurait vu commettre un acte douteux. 

En revanche, lorsque l’on ne connaît pas la personne et que l’acte observé reste équivoque, la Torah ne nous oblige pas à la juger favorablement. Il est cependant louable d’agir dans ce sens même dans ces circonstances.

Pour L’élévation de l’âme de Hanna Lina Bat Lola Laure za’l