Entre l'homme et son prochain

Etude du Jour - Numéro 45

Qu’Hachem apporte la guérison à tous les malades d’Israël et protège tout son peuple de cette épidémie et envoie le Machiah

S'intéresser à l’achat d’un objet

On ne se renseignera pas sur un produit lorsqu’on ne possède pas l’argent pour l’acheter, par exemple :

On ne demandera pas : “combien coûte cet objet ?”, alors que l’on a aucune intention de se le procurer. 

En agissant ainsi, on cause une peine inutile au vendeur, en nourrissant chez lui de faux espoirs.

La même règle s’applique également à toutes les formes de services : on ne peut questionner un ouvrier ou un artisan sur le coût d’un travail, quand on n’a aucunement l’intention de l’employer. 

Même chose pour établir un devis pour une prestation de services si l’on est sûr que l’on ne choisira pas ce prestataire ou si l’on veut se servir de son devis pour le donner à la concurrence.

Cette loi concerne uniquement celui qui n’a aucune intention d’acheter l’objet en question, et qui laisse croire qu’il est intéressé à se le procurer. 

En revanche, lorsqu’on annonce dès le départ au vendeur que notre intention n’est que de vérifier le prix dans plusieurs magasins, cela reste permis. 

Cette autorisation est également valable lorsque notre intention ressort clairement de notre manière de questionner

Rappeler le passé

 Il est interdit de dire à un Baal Techouva (un homme revenu sur le chemin de la Torah) : “Souviens-toi de ce que tu as fais à l’époque !”

De même, on ne doit pas dire au fils d’un converti ou un Baal Techouva venus étudier la Torah : “Comment une bouche qui a mangé des aliments impurs peut-elle venir étudier la Torah enseignée de la bouche de D.ieu ?”

Pour L’élévation de l’âme de Hanna Lina Bat Lola Laure za’l