Chalom alehem rav. Le nakh parle d’un gateau de figue pour soigner les ulcères. Quest ce que c’etait vraiment? J’ai un café, jai fais la brakha dessus je le bois et puis dans ce meme café a moitié par exemple je rajoute du café ou de l’eau dois je refaire la brakha? Toda. lehitrahot.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Jérémie,
Quelle est la référence où le nakh parle d’un gâteau de figue pour soigner les ulcères?
À propos du café, chaque fois qu’on fait une brakha sur un aliment et qu’on ne pense rien de spécial en faisant la brakha, c’est-à-dire qu’on ne pense pas rendre quitte un autre aliment de même type, et qu’on ne pense pas non plus qu’on ne mangera que le premier aliment, que lui et rien que lui, si le deuxième aliment est meilleur que celui qu’on mange actuellement, alors on refait la brakha. S’il est de moins bon goût ou de goût égal, alors on ne refait pas la brakha. Le mieux, bien sûr, est a priori de penser ou bien qu’on ne fait la brakha que sur le premier aliment et rien de plus, ou qu’on pense rendre quitte tous les aliments susceptibles de nous être présentés, qui ont une brakha du même type.
Attention! Si on mange un fruit, par exemple une pomme, et qu’après on nous amène un des fruits par laquelle la terre d’Israel a été bénie (olive, vigne, grenade, figue, datte), mais qu’on préfère la pomme, alors il y a une ma’hloket si on fait la brakha ou pas. D’un côté, la pomme a un meilleur goût, donc on ne devrait pas faire la brakha, d’un autre côté, le fruit qu’on nous amène est plus important, étant donné que c’est un des fruits par lesquels la terre d’Israël a été bénie. Donc il faudra s’éloigner de ce type de situation.
Au revoir,
Rav Ron Chaya.
À propos du café, chaque fois qu’on fait une brakha sur un aliment et qu’on ne pense rien de spécial en faisant la brakha, c’est-à-dire qu’on ne pense pas rendre quitte un autre aliment de même type, et qu’on ne pense pas non plus qu’on ne mangera que le premier aliment, que lui et rien que lui, si le deuxième aliment est meilleur que celui qu’on mange actuellement, alors on refait la brakha. S’il est de moins bon goût ou de goût égal, alors on ne refait pas la brakha. Le mieux, bien sûr, est a priori de penser ou bien qu’on ne fait la brakha que sur le premier aliment et rien de plus, ou qu’on pense rendre quitte tous les aliments susceptibles de nous être présentés, qui ont une brakha du même type.
Attention! Si on mange un fruit, par exemple une pomme, et qu’après on nous amène un des fruits par laquelle la terre d’Israel a été bénie (olive, vigne, grenade, figue, datte), mais qu’on préfère la pomme, alors il y a une ma’hloket si on fait la brakha ou pas. D’un côté, la pomme a un meilleur goût, donc on ne devrait pas faire la brakha, d’un autre côté, le fruit qu’on nous amène est plus important, étant donné que c’est un des fruits par lesquels la terre d’Israël a été bénie. Donc il faudra s’éloigner de ce type de situation.
Rav Ron Chaya.
Référence Leava : 7081
Date de création : 2009-10-14 12:10:06