Bonjours, je me permet de vous écrire car je suis actuellement dans une pèriode de reflexion extrêmement complexe. Je suis depuis bientot 4 ans avc un garcon (juif biensur), au bout de un an, nous nous sommes rendu compte qu’il etait atteint d’une depression assez importante, depuis, il a toujours était question de conflits et de malentendus car jusqu’à il n’y a pas longtemps, je ne savait pas réagir face à certains comportements qu’il pouvait avoir à cose de sa maladie. Etant donné que je l’aime, j’ai donc accepté cette situation et accepte de "subir" les eventuels problemes qu’entrainait sa depression, Nous nous sommes fiancé il ya un mois, et je me rends compte que malheureusement à cause de son état d’ésprit négatif, nos objectifs ne sont pas communs, sa conception du mariage est completement contraire à la mienne, selon lui, se marier nest qu’une "signature sur un bout de papier", de plus, il n’arrete pas de critiquer ma facon d’être, alors je ne sais plus ou jen suis, devrais je me remettre en question?,dois je me dire qu’il réagit comme ca a cause de l’état d’ésprit dans lequel le met sa maladie et que avec de la patience, il va beezrat Achem guerrir et que tout rentrera alors dans l’ordre? Je ne sais plus quoi fair et suis perdue dans mes choix… Je ressens malgré tout cela un amour tellement fort pour lui, que je suis arrivée à un stade où je ne peux plus uniquement écouter mon coeur, car si c’était le cas, je resterai eternellement dans cette situation sans me poser toutes ces questions.;.; c’est pourquoi je me permet de vous demander un avis qui pourrait me permettre de prendre la bonne décision
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
La différence entre vous et un observateur extérieur, c’est que vous êtes amoureuse et que l’observateur extérieur ne l’est pas. Dans cette mesure, je pense que n’importe quel observateur vous dirait de ne pas continuer avec lui car à part l’amour que vous éprouvez pour lui, il n’y a aucune raison objective de continuer, vu qu’actuellement – et semblerait-il pour les années à venir – une dose assez grande de souffrance vous attend. Si ma fille était dans la même condition que vous et que j’avais les moyens, en utilisant ma pression de père, de l’empêcher de se marier avec un homme comme ça, je l’aurais fait sans aucun doute, car je veux le bonheur de ma fille. Mais vous êtes sa fiancée et vous l’aimez beaucoup. Il y a donc ici un mélange de sentiments subjectifs et de raison objective. A vous de faire le choix.
Que D. vous aide,
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Que D. vous aide,
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 6397
Date de création : 2009-07-13 13:07:23