Je ne suis pas convaincu par votre réponse concernant une femme violée qui se rendrait coupable car elle n’a pas crié. On voit que des états de choc empêchent cela.

Chalom rav ,

Je ne suis pas convaincue par votre réponse car quand je parle de choc c est un vrai choc ou la femme est empêcher psychologiquement ..

 

Réponse du Rav Ron Chaya :

Chalom,

Il est écrit clairement dans le Sefer ha’hinoukh (mitsva 557) que la femme violée dans la ville est en ‘hazaka d’avoir été consentante, c’est-à-dire qu’il y a une présomption dans ce sens.
Mais si la réalité montre clairement qu’elle a été violée, il est clair qu’elle est innocente.

Au revoir,
Rav Ron Chaya

 

Référence : 17135
Date question sur Leava : 2012-03-05 21:03:54