bonjour rav,
j’ai une question qui me tracasse depuis un certain temps :
Je suis étudiant de 20 ans chomer chabat, je sais tres bien lire l hebreu mais le problème c est que je ne le comprend pas bien voire très mal du coup je me demande sans cesse si la prière que je fais a une valeur.
En aurait t elle une plus grande en francais, le temps que je m’investisse d’avantage à apprendre l hebreu?
D’autre part je commence petit à petit à étudier ;en grande partie les cours sur votre site,et je lis la traduction de la paracha de la semaine avec ses commentaire le chabat que me suggeriez vous d’étudier pour débuter?
merci par avance de votre reponse
PS:vous avez eu une idée de génie en créant ce site: l’étude de la thora devient à la portée de tous! j essaie de faire voir votre cours » la preuve irréfutable » à pas mal de personnes de mon entourage ignorantes en espérant qu’ il puisse se produire un changement….
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Daniel,
La prière en hébreu a plus de valeur qu’en français, même si on ne la comprend pas.
Néanmoins il est absolument nécessaire de comprendre au moins la première brakha de la amida et les deux premiers versets de chéma Israël:
« Chéma Israël… » et « Baroukh chem… ».
Si c’est possible on comprendra les 3 premières brakhot de la amida aussi.
Néanmoins, ce que je recommande est la chose suivante:
Il existe des sidourim où la traduction en français est inscrite sous les mots en hébreu, donc tu peux, quand tu lis en hébreu, voir simultanément la traduction en français et ainsi comprendre ce que tu dis. Il s’agit du « Sidour de la délivrance ».
A propos de l’étude, il est bien que tu lises la traduction de la paracha avec les commentaires, il serait bien aussi de commencer à lire un abrégé de Choul’han Aroukh ou n’importe quel autre livre de halakha pour savoir peu à peu comment vivre selon les lois du judaïsme, car l’essentiel est l’étude qui mène à l’action.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Néanmoins il est absolument nécessaire de comprendre au moins la première brakha de la amida et les deux premiers versets de chéma Israël:
« Chéma Israël… » et « Baroukh chem… ».
Il existe des sidourim où la traduction en français est inscrite sous les mots en hébreu, donc tu peux, quand tu lis en hébreu, voir simultanément la traduction en français et ainsi comprendre ce que tu dis. Il s’agit du « Sidour de la délivrance ».
Rav Ron Chaya
Référence : 8937
Date question sur Leava : 2010-04-07 20:04:59
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