Chalom Rav,
- Peut on faire le Chéma à Min’ha si en même temps on met les tefillins ?
- J’ai fais tomber de 5cm sur ma table les tefillins du bras est ce grave ?
Je les ai tout de suite récupérés et embrassés… - Me conseillez vous des livres de halakhot pour les enfants du Talmud Torah où je donne des cours ?
- Puis-je leur acheter des tsitsyot Katan à leur taille et leur donner en leur expliquant comment le mettre/berakha etc .. ? (Ils ont 7-10 ans)
- De plus y a il des choses en particulier « facile » à étudier pour les enfants de cet âge ?
(Halakhot, Histoire du peuple Juif ..) - Comment bien leur faire comprendre la place de D’ dans leur vie d’enfant sans matraquer avec le olam aba( meme si c’est notre but final)/Gan éden et guehinom parce que je veux pas les choquer ou dégoûter de la Torah has véchalom et puis ils sont encore un peu jeune .. ?
Merci
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Ruben,
Voici les réponses à tes questions :
- On peut réciter le Chéma quand on veut, il ne contient que des versets de la Torah, et lorsqu’on le récite, on accomplit la mitsva d’étudier la Torah.
- Si les tefillin ont touché la table, normalement il faut jeûner.
Mais si le fait de jeûner entraîne qu’on étudie moins bien ou qu’on enseigne moins bien la Torah à des enfants, on est dispensé du jeûne et on donnera de la tsédaka en contrepartie.
- Je ne m’y connais pas sur la question.
- Je pense que les habituer à porter le talith katan est une très grande mitsva.
Mais ils ne doivent pas réciter la berakha, ou alors sans chèm ou-malkhout (baroukh acher kidéchanou bémitsvotav vétsivanou léhit’atèf bé–tsitsit ou al mitsvat tsitsit).
- Je pense que les histoires du ‘Houmach et du Tanakh sont extraordinaires.
Tout d’abord, elles sont passionnantes en soi ; ensuite, étant donné qu’elles sont saintes, elles pénètreront leur cœur et y feront beaucoup d’effet.
- Pour bien leur faire comprendre la place de D.ieu dans leur vie, il faut leur raconter beaucoup d’histoires de tsadikim.
Cela les touchera très profondément dans leur âme, ils seront ainsi très motivés pour leur ressembler.
Chabbat Chalom
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Mais si le fait de jeûner entraîne qu’on étudie moins bien ou qu’on enseigne moins bien la Torah à des enfants, on est dispensé du jeûne et on donnera de la tsédaka en contrepartie.
Mais ils ne doivent pas réciter la berakha, ou alors sans chèm ou-malkhout (baroukh acher kidéchanou bémitsvotav vétsivanou léhit’atèf bé–tsitsit ou al mitsvat tsitsit).
Tout d’abord, elles sont passionnantes en soi ; ensuite, étant donné qu’elles sont saintes, elles pénètreront leur cœur et y feront beaucoup d’effet.
Cela les touchera très profondément dans leur âme, ils seront ainsi très motivés pour leur ressembler.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 33670
Date de création : 2015-01-02 09:45:45