Qu’Hachem apporte la guérison à tous les malades d’Israël et protège tout son peuple de cette épidémie et envoie le Machiah
Rabbi Avraham Mordehai Alter de Gour, auteur du Imre Émet, raconta l’histoire
suivante à un érudit en Torah : « Un juif vivant dans l’opulence avait l’habitude d’inviter tous les jours à sa table ses deux gendres. L’un préférait les plats lactés tandis que l’autre les plats carnés. Chacun mangeait donc son repas séparément.
Hélas, après l’appauvrissement qui frappa leur beau-père, nos deux hôtes durent se contenter d’une petite ration de pain et d’eau.
Constatant que ses gendres continuaient à manger chacun de son côté, il leur dit : « J’admets que vous deviez manger séparément avant mais pourquoi continuer maintenant ?
Cette histoire illustre parfaitement la situation que nous vivons à notre époque. Les générations précédentes, qui servaient véritablement Dieu, était en désaccord sur la manière de Le servir. Des débats et des discussions entre grandes personnalités de la Torah furent donc à l’origine de séparations, chacun empruntant la voie qui lui semblait la plus juste. Mais de nos jours, ou le niveau spirituel s’est affaibli, nous devrions au contraire réunir nos forces et accorder nos violons afin de défendre les valeurs et les fondements de notre foi. Notre manière d’agir paraît aussi insensée que de tergiverser sur des détails, alors que les fondations sont menacées.
Rabbi Avraham Mordehai Alter de Gour, auteur du Imre Émet, raconta l’histoire
suivante à un érudit en Torah : « Un juif vivant dans l’opulence avait l’habitude d’inviter tous les jours à sa table ses deux gendres. L’un préférait les plats lactés tandis que l’autre les plats carnés. Chacun mangeait donc son repas séparément.
Hélas, après l’appauvrissement qui frappa leur beau-père, nos deux hôtes durent se contenter d’une petite ration de pain et d’eau.
Constatant que ses gendres continuaient à manger chacun de son côté, il leur dit : « J’admets que vous deviez manger séparément avant mais pourquoi continuer maintenant ?
Cette histoire illustre parfaitement la situation que nous vivons à notre époque. Les générations précédentes, qui servaient véritablement Dieu, était en désaccord sur la manière de Le servir. Des débats et des discussions entre grandes personnalités de la Torah furent donc à l’origine de séparations, chacun empruntant la voie qui lui semblait la plus juste. Mais de nos jours, ou le niveau spirituel s’est affaibli, nous devrions au contraire réunir nos forces et accorder nos violons afin de défendre les valeurs et les fondements de notre foi. Notre manière d’agir paraît aussi insensée que de tergiverser sur des détails, alors que les fondations sont menacées.
la Torah n’a été donnée que pour la faire résider dans le monde, comme il est dit : « Ses chemins sont douceur et tous ses sentiers sont de paix. »
La paix est d’une importance telle que pour la préserver, nos Sages instaurèrent 18 décrets d’intérêt général.
Lorsqu’un homme ne peut se procurer à la fois les bougies de Chabbat et le vin pour le Kiddouch, ce sont les bougies qui ont la priorité, car elles font régner la paix dans le foyer.
De même, lorsqu’une personne n’a pas les moyens d’acheter, et les bougies de Chabbat et celles de Hanouka, ce sont celles de Chabbat qui priment.
Selon Maïmonide, cette règle s’explique par le fait que pour faire régner la paix dans un couple, la Torah admet qu’on efface le Nom divin.
Il est louable de mettre son honneur de côté dans le but d’éviter d’entretenir une dispute. Les personnes effacées et pudiques préfèrent renoncer à réaliser une mitsva, pour ne pas être mêlées à une dispute.
Pour L’élévation de l’âme de Hanna Lina Bat Lola Laure za’l