Qu’Hachem apporte la guérison à tous les malades d’Israël et protège tout son peuple de cette épidémie et envoie le Machiah
La vengeance peut être autorisée dans un cas de persécution, dans le but d’éviter d’autres agressions.
Il faudra veiller à ce que cette vengeance ne soit pas motivée par le mal subi, mais seulement par la volonté de se protéger de persécutions futures.
Étant donné que cette permission repose sur de nombreux détails, et que le moindre changement de circonstances peut changer la Halakha, on ne pourra l’appliquer que sur l’autorisation d’une autorité compétente.
S’il est possible d’empêcher l’agresseur de continuer ses persécutions par d’autres moyens, par exemple, à l’aide de reproches ou de toute autre manière, la vengeance reste interdite.
De plus, il faut avoir acquis la certitude que l’homme dont on veut se venger est bien l’auteur des persécutions, soit en l’ayant vu agir de ses propres yeux, soit par des preuves qui sont sans équivoques.
Il faut également s’assurer que les attaques dont on est la victime sont considérées comme illégitimes aux yeux de la Torah.
Enfin, même lorsqu’un acte de vengeance est autorisé, il faut prendre soin de n’accomplir que le strict nécessaire pour les besoins de la cause, et ne rien y ajouter de superflu.
“Quiconque se montre conciliant avec autrui, alors le Ciel se montrera conciliant envers ses fautes.”
Pour L’élévation de l’âme de Hanna Lina Bat Lola Laure za’l