Etre rendu quitte d’une bénédiction face à une nudité

Comme l’indiquent les mots « vélo yihyé békha ‘érvat davar », il est interdit de dire des paroles de Torah ou de prière devant une nudité, mais il n’est pas interdit d’y penser. Qu’en est-il de celui qui est rendu quitte d’une berakha (et qui, en vertu du principe de chomé’a ké’oné, est considéré comme l’ayant dite bien qu’il ne l’ait pas prononcé) lorsque celle-ci est dite devant une nudité?

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