Kavod Harav, Chalom,
1. Lorsqu’on a un prénom français qui est usuel et un prénom hébreu.
Est-il permis à une personne de notre entourage, et dans le cas présent, le futur conjoint, de nous appeler par notre prénom hébreu s’il aime davantage ce prénom (surtout si on aime aussi beaucoup ce prénom en hébreu) ?
2. Divorcée avec un stérilet pour éviter des menstrues trop douloureuses.
Au mariage, si le couple ne souhaite pas avoir d’enfants, pour raison d’âge trop élevé (et n’en souhaite peut être plus) pour l’homme et problèmes de santé importants (intervention sur rachis lombaire non judicieuse pour le moment) pour la femme qui l’empêcheraient d’aller au terme de la grossesse.
Peut elle poursuivre cette contraception ?
Si, oui, même pour aller au mikve pour et après la Houppa ?
Merci pour ce temps et hodesh tov
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Voici les réponses à vos questions :
- Il n’y a aucun problème à ce que des personnes de notre entourage, et dans le cas présent, le futur conjoint, nous appelle par un prénom hébreu.
Il est clair que cela est préférable.
- Tous les contraceptifs masculins sont interdits tandis que tous les contraceptifs féminins sont permis à condition que si la femme tombe enceinte, des problèmes médicaux l’empêcheraient d’arriver au terme de sa grossesse ou la mettraient en danger de mort.
On peut aller au mikvé et à la ’houpa bien que l’on prenne des contraceptifs, si on les prend avec l’autorisation d’un rav dans le cadre des critères que je viens d’énoncer.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Il est clair que cela est préférable.
On peut aller au mikvé et à la ’houpa bien que l’on prenne des contraceptifs, si on les prend avec l’autorisation d’un rav dans le cadre des critères que je viens d’énoncer.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 74969
Date de création : 2017-03-01 13:23:25
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