Chalom Rav,
1) donner des cours d hebreu a mon enfant est ce de la tsedaka
2) donner un travail remunere a un juif est ce de la tsedaka
merci beaucoup rav Chaya.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Samuel,
1- On ne peut pas utiliser l’argent du ma’asser pour enseigner à notre enfant les choses que nous avons l’obligation de lui enseigner.
Nous ne pourrons donc pas payer l’école, même l’école juive, avec l’argent du ma’asser. Mais néanmoins, s’il s’agit de cours privés qui le feront arriver à un niveau supérieur que ce qu’il apprend à l’école, on aura le droit d’utiliser l’argent du ma’asser à cette fin.
Néanmoins il sera préférable qu’avant qu’on prenne sur soi de donner le ma’asser qu’on dise qu’on pourra aussi l’utiliser pour ce type de but.
Et dans tous les cas, celui dont la situation financière est difficile pourra utiliser le ma’asser à cette fin.
2- Par les différentes façons qu’il y a de donner la tsédaka, il n’y a pas de meilleure façon que celle où celui qui la reçoit n’ait pas honte.
Donc quand on donne un travail rémunéré à un juif c’est la meilleure tsédaka que l’on puisse faire.
Néanmoins, on ne pourra pas utiliser l’argent de la tsédaka pour le rémunérer dans la mesure où nous sommes rémunérés par le travail qu’il fait.
Néanmoins, si nous n’avons aucune utilité du travail qu’il fait et tout l’argent que nous lui donnons pour ce travail est en fait de l’argent que nous perdons totalement, on pourra considérer cet argent comme de l’argent de la tsédaka et le payer avec le ma’asser.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Chalom Samuel,
1- On ne peut pas utiliser l’argent du ma’asser pour enseigner à notre enfant les choses que nous avons l’obligation de lui enseigner.
Nous ne pourrons donc pas payer l’école, même l’école juive, avec l’argent du ma’asser. Mais néanmoins, s’il s’agit de cours privés qui le feront arriver à un niveau supérieur que ce qu’il apprend à l’école, on aura le droit d’utiliser l’argent du ma’asser à cette fin.
Néanmoins il sera préférable qu’avant qu’on prenne sur soi de donner le ma’asser qu’on dise qu’on pourra aussi l’utiliser pour ce type de but.
Et dans tous les cas, celui dont la situation financière est difficile pourra utiliser le ma’asser à cette fin.
2- Par les différentes façons qu’il y a de donner la tsédaka, il n’y a pas de meilleure façon que celle où celui qui la reçoit n’ait pas honte.
Donc quand on donne un travail rémunéré à un juif c’est la meilleure tsédaka que l’on puisse faire.
Néanmoins, on ne pourra pas utiliser l’argent de la tsédaka pour le rémunérer dans la mesure où nous sommes rémunérés par le travail qu’il fait.
Néanmoins, si nous n’avons aucune utilité du travail qu’il fait et tout l’argent que nous lui donnons pour ce travail est en fait de l’argent que nous perdons totalement, on pourra considérer cet argent comme de l’argent de la tsédaka et le payer avec le ma’asser.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 22551
Date de création : 2013-02-04 19:02:00