bonjour, dois-je jeter une robe, si elle est tsnoua (pas de fente, ni moulante, ni trop courte, ni couleurs bizarres…) mais que je me sens attirante dedans, si je sais que je n’ai plus de yetser ara de la porter dehors, mais que je la garde juste pour la mettre à la maison que en présencede mon mari et de mon bébé? Puis je appeler Hashem, Seigneur au lieu de L’appeler Hashem, car au fil du temps ce nom est devenu familier, et j’ai l’impression de parler d’un copain et de manquer de kavod? Comment donner du kavod à mes parents qui sont des gens qui fuient le kavod ( et ne supportent pas que je me lève pour eux, ou fasse la vaisselle pour les aider….)? pour moi, la mitsva est-elle donc de respecter leur désir et de ne pas les aider? merci d’avance
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Voici les réponses à vos questions:
1- Si cette robe ne dérange pas votre mari et que vous ne la portez qu’en sa présence, il n’est pas nécessaire de la jeter. Faites juste attention que d’autres hommes ne vous voient pas avec si jamais ils sont amenés à venir chez vous.
2- Vous pouvez appeler Hachem Seigneur, si vous sentez que par cela vous Lui faites plus de kavod.
3- L’essentiel du kavod qu’on fait aux parents n’est pas de se lever ou de faire la vaisselle pour les aider mais c’est de faire leur désir : d’être souriant, sympathique, de les écouter, de leur faire plaisir. Néanmoins, il sera bien de faire ce qu’on appelle un hidour, c’est-à-dire relever un peu le postérieur lorsqu’ils passent près de vous. Mais si cela aussi les embête, alors on ne fera rien du tout.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
1- Si cette robe ne dérange pas votre mari et que vous ne la portez qu’en sa présence, il n’est pas nécessaire de la jeter. Faites juste attention que d’autres hommes ne vous voient pas avec si jamais ils sont amenés à venir chez vous.
2- Vous pouvez appeler Hachem Seigneur, si vous sentez que par cela vous Lui faites plus de kavod.
3- L’essentiel du kavod qu’on fait aux parents n’est pas de se lever ou de faire la vaisselle pour les aider mais c’est de faire leur désir : d’être souriant, sympathique, de les écouter, de leur faire plaisir. Néanmoins, il sera bien de faire ce qu’on appelle un hidour, c’est-à-dire relever un peu le postérieur lorsqu’ils passent près de vous. Mais si cela aussi les embête, alors on ne fera rien du tout.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 11212
Date de création : 2010-12-05 07:12:55