Dans nos vies, il y a des moments où nous avons plus de facilités à prier Hachem (par exemple lorsque nous nous trouvons dans une situation dans laquelle nous avons particulièrement besoin de Son aide) ; et il y a des périodes dans lesquelles, du fait qu’aucune « pression » ne soit exercée sur nous, nous avons plutôt tendance à moins (ou à moins bien) prier.
Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que les ‘Hakhamim ont comparé le peuple juif à l’olive, qui ne donne le meilleur d’elle même que lorsqu’on la presse.
Pourquoi avons-nous besoin d’une certaine gêne pour bien prier?
Le fait de devoir être ainsi « contraints » à bien agir n’est-il pas un peu humiliant pour nous?
Pourquoi Hachem n’a-t-Il pas fait en sorte que nos téfilot soient déclenchées par un plaisir plutôt que par une souffrance?
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