Shalom Rav. lorsque une personne est remplis d’emouna il verra dans chaque evenement qui lui arive la volonté de D… et acceptera la situation.Seulement voila, comment peut on faire la nuance entre accepter une situation et vouloir la changer? par exemple si l’on fait une demande a une entreprise pour un travail, et que cette demande est refusé on peut se dire que tout est pour le bien et accepter en se disant que D… en a voulu ainsi, ou alor s’acharner a renvoyer a cet entreprise des CV et essayer par tout les moyens de se faire embaucher et cela peut porter ses fruit, et on se dira egalement que D… en a voulu ainsi. mais comment trouver le juste milieu? n’y a t il pas un danger de tomber dans un certain manque d’action face a des situations en pensant que tout se qui nous arrive est la volonté de D..? j’espere que ma question a été comprise. merci.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Yoav,
J’en parle abondamment dans mes cours sur la hichtadlout. Brièvement, D. nous demande d’agir sur terre comme s’il n’était pas là afin de mettre en place le canal qui Lui permettra de nous envoyer la brakha. Il faut simplement savoir que ce canal n’est qu’une comédie et que ce n’est pas ce canal qui agit mais bien D. Néanmoins, vu que D. ne veut pas agir de façon trop évidente afin de nous laisser le libre-arbitre, il nous demande de faire une hichtadlout c’est-à-dire une certaine comédie qui permettra d’établir le flux par lequel D. agira. Quel est l’intensité avec laquelle on doit jouer cette comédie ? De la façon la plus normale et sans exagérer.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Rav Ron Chaya
Référence : 7791
Date question sur Leava : 2009-12-27 20:12:57
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