Comment prier avec sincérité lorsque ma réussite est en question ?

Rav,

Je ne changerai pas mes habitudes.

Je suis devenu bien plus religieux, bien sur un niveau encore extrêmement perfectible et insuffisant…

• Je prie tout les jours pour ma hatsla’ha,
• Je suis étudiant, et j’oriente mes prières et le choix de mes Téhilims lus à cet effet

Je sais que la réussite de l’année, la parnassa également, est décrété a Kippour, alors comment m’y préparer, essayer de faire plus cette année et donner une dimension encore plus importante a ce jour que je ne le faisais avant, j’irai a l’intégralité de la téfila bli néder, alors que avant j’arrivais vers 10h.

Mais j’aimerai ajouter un maximum et une autre dimension.

Autre questionnement :

N’est il pas problématique de ‘prier autant’ avec une idée derrière la tête, voulant réussir mon année (médecine 1er année doublant) a tout prix.
J’ose espérer que je serai dans la même dimension si je ne faisais pas des études contraignante, mais je ne peux en être sûr.
Je ne peux que m’engager a continuer dans le rythme que j’ai réussite ou pas au bout, mais j’aurai du mal a me dire que ce n’est pas mon mazal si j’échoue et avoir cette force de caractère, cette même confiance en la tefila.

Un problème alors se pose c’est que si je réussi se serait presque un miracle dévoilé, une expérience qui prouverait a tous que mes tefilot et demandes sont écoutés (bien que je n’en parle peu).
Ne me mettrai-je pas des bâtons dans les roues tout seul ?

J’aurai du mal a prier durant cette année, sincèrement, en demandant qu’on m’accorde ce qui m’est destiné, je veux que sa devienne, même si ce n’était pas le cas, changer le décret, et réussir.

Dois-je faire quelques chose de précis a cet effet ?
Dois-je changer ma manière de faire, ou de penser ?

Merci Rav, désolé pour le manque d’expression clair et la confusion !

‘Hag saméa’h si vous ne répondez pas avant.