Comment peut-on dire que l’étude de la Torah, dans notre monde, n’a pas de fin ?

Chalom Rav Chaya,

Comment peut-on dire que l’étude de la Torah, dans notre monde, n’a pas de fin ( »ène sof »), sachant que nous l’abordons dans un monde fini ?

Par exemple, lorsqu’on étudie Baba Kama, j’imagine qu’il y a une limite dans l’analyse de la Guémara, car le nombre d’aspects, de facettes concernant ce sujet est limité ?

De plus, est-il possible qu’on apporte des ‘hidouchim dans la Torah [autrement dit, qu’on dévoile des choses de la Torah que ‘Hazal ne nous ont pas dit (non pas qu’ils ne nous l’aient pas enseigné, mais qu’en fait les ‘Hakhamim ne se soient pas posés une question en particulier, et que nous, on se la pose)] ? 

 

Réponse du Rav Ron Chaya : 

Chalom David,

Le second paragraphe de ta question est la réponse au premier paragraphe.

La Torah est infinie, car même si hypothétiquement quelqu’un pourrait apprendre et savoir tout ce qui a été écrit et dit dans la Torah, il pourra certainement encore approfondir et recevoir du ciel des ‘hidouchim inédits.

Au revoir,
Rav Ron Chaya

 

Référence Leava : 65740
Date de création : 2015-04-19 20:12:53