Chalom Rav,
J’ai vraiment une question importante… concernant La Prière.
Voilà, vous avez dis que lorsque nous prononçons le Nom de Hachem , normalement si on veut bien faire, on doit penser en disant Le Nom de Hachem, si c’est ecrit dans le Sidour "ADO.." à "Adon Hakol" et si c’est écrit "Youd Ké Vav Ké" on pense à la fois à "Adon Hakol" et à "Haya Hové Véyiyé" + à la reunion des 2 Noms.
Mon problème, c’est que je prie sur un Sidour "Téhilat Hachem" et je ne sais jamais si nous devons lire "ADO.." ou "Youd Ké Vav Ké" car Le Nom de Hachem est écrit sur ce Sidour avec 2 Youd.
Alors par exemple dans La Amida, comment devons nous lire Le Nom de Hachem ?
Et est-ce la même Kavana à avoir pour les Bénédictions lorsque nous mangeons (et pour Les Bra’hot comme Birkot Acha’har ou même Les Bra’hot en général) ?
Et enfin pour ce qui est de La Amida, doit-on dire Amen à la fin de la 19e Bénédiction si on prie seul ?
J’ai la même question pour le Birkat Amazon doit-on dire Amen à un moment si on prie seul (j’ai cru comprendre qu’on disait Amen juste après "Boné Yérouchalaim" mais je ne suis pas sûr), si oui c’est après quelle Bénédiction s’il vous plaît ?
Juste une dernière précision car j’ai un peu peur, j’ai le droit ou pas d’avoir écrit "Haya Hové Véyiyé" ?
Merci beaucoup Rav, je ne sais comment vous remercier pour tout ce que vous faites, Merci! Je n’ose imaginer le temps que cela vous demande pour nous répondre comme vous le faites (c’est pour cela qu’il faut que je me calme!),
donc Merci du fonds du coeur.
Chalom Rav
Gilbert
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Gilbert,
Désolé, je viens de retrouver votre mail qui avait disparu de ma vue pendant quelques semaines, je m’empresse de vous répondre mais je suis désolé pour le retard.
Voici les réponses à tes questions :
1. La seule fois dans la amida dans laquelle nous avons le nom Ado qui n’est pas écrit youd ké vav ké est au début de la deuxième berakha « ata guibor léolam Ado… ».
2. On aura la même kavana dans toutes les bénédictions que nous faisons même si possible chaque fois que nous rappelons le nom de D.ieu.
3. Oui, on dit amen chaque fois qu’on fini une série de bénédictions.
C’est le cas à la fin de la amida, c’est aussi le cas dans le birkat hamazone après la troisième berakha « boné Yérouchalaïm ».
On ne dit pas le amen après la quatrième berakha du birkat hamazone pour marquer une différence entre la quatrième et les trois premières, les trois premières sont déOraïta, de la Torah alors que la quatrième est dérabanan.
On dira le amen après la troisième berakha à voix basse pour ne pas que les ignares pensent que la quatrième n’est pas obligatoire et que le birkat hamazone est fini.
4. Tu as le droit d’écrire Haya, Hové vé-Yhiyé.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Chalom Gilbert,
Désolé, je viens de retrouver votre mail qui avait disparu de ma vue pendant quelques semaines, je m’empresse de vous répondre mais je suis désolé pour le retard.
Voici les réponses à tes questions :
1. La seule fois dans la amida dans laquelle nous avons le nom Ado qui n’est pas écrit youd ké vav ké est au début de la deuxième berakha « ata guibor léolam Ado… ».
2. On aura la même kavana dans toutes les bénédictions que nous faisons même si possible chaque fois que nous rappelons le nom de D.ieu.
3. Oui, on dit amen chaque fois qu’on fini une série de bénédictions.
C’est le cas à la fin de la amida, c’est aussi le cas dans le birkat hamazone après la troisième berakha « boné Yérouchalaïm ».
On ne dit pas le amen après la quatrième berakha du birkat hamazone pour marquer une différence entre la quatrième et les trois premières, les trois premières sont déOraïta, de la Torah alors que la quatrième est dérabanan.
On dira le amen après la troisième berakha à voix basse pour ne pas que les ignares pensent que la quatrième n’est pas obligatoire et que le birkat hamazone est fini.
4. Tu as le droit d’écrire Haya, Hové vé-Yhiyé.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 21642
Date de création : 2012-12-19 20:12:35