Kvod arav chavoua tov,
Je voudrais savoir, on ma dit qu’il faut donner la tsédaka d’abord aux gens de sa famille…
- Comment déterminer qui est vraiment pauvre ou non ?
- Je connais certaines personnes ayant des problèmes mais elles partent en vacances etc ?
- Puis-je favoriser une association ou autre ?
Merci kol tov
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Actuellement, est considérée comme pauvre une personne qui n’a pas de quoi subvenir aux besoins normaux de lui-même et de sa famille.
- Qu’appelle-t-on « besoins normaux » ?
Cela change selon les époques et les endroits.
Nous devons donc juger nous-mêmes si par rapport à la société ambiante, cette personne a de quoi subvenir à ce que les gens considèrent comme des besoins normaux.
- Il me semble normal que l’on parte en vacances.
Tout dépend où et combien de temps.
- Effectivement, il est écrit qu’il y a une priorité à donner le maasser et la tsedaka aux gens de sa famille, mais il est aussi écrit qu’il faut laisser la moitié pour d’autres pauvres et associations.
Les proches auront la priorité sur les moins proches même si les moins proches sont plus dans le besoin que les proches.
En revanche, si les proches sont plus dans le besoin que les autres, on peut leur donner tout le maasser.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Cela change selon les époques et les endroits.
Nous devons donc juger nous-mêmes si par rapport à la société ambiante, cette personne a de quoi subvenir à ce que les gens considèrent comme des besoins normaux.
Tout dépend où et combien de temps.
Les proches auront la priorité sur les moins proches même si les moins proches sont plus dans le besoin que les proches.
En revanche, si les proches sont plus dans le besoin que les autres, on peut leur donner tout le maasser.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 77568
Date de création : 2017-08-21 09:38:40
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