Comment progresser dans le monde de la Torah et des Mitsvoth sans se désinterresser ni mettre en péril notre travail ?
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Michael,
La michna dans Avot dit bien « Im èn kéma’h èn Torah, im èn Torah èn kéma’h », s’il n’y a pas de farine, il n’y a pas de Torah ; s’il n’y a pas de Torah , il n’y a pas de farine.
On a donc besoin des deux.
Simplement, il faut comprendre que l’essentiel c’est la Torah et le gagne pain l’accessoire, c’est-à-dire le moyen technique qui nous permet de pouvoir étudier.
Pour étudier, il ne faut pas se désintéresser du gagne-pain, c’est une hichtadlout obligatoire, mais il faut la faire de façon normale, savoir que ce n’est que le fruit de la malédiction du premier homme (« Tu gagneras ta vie à la sueur de ton front »), alors pourquoi trop s’investir dans une malédiction?
Néanmoins, il ne faut pas tomber dans l’autre extrême et s’en désintéresser.
Pour plus de renseignements, regarde le cours « Torah et travail ».
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Pour étudier, il ne faut pas se désintéresser du gagne-pain, c’est une hichtadlout obligatoire, mais il faut la faire de façon normale, savoir que ce n’est que le fruit de la malédiction du premier homme (« Tu gagneras ta vie à la sueur de ton front »), alors pourquoi trop s’investir dans une malédiction?
Rav Ron Chaya
Référence : 2323
Date question sur Leava : 2007-12-30 10:12:07
© Leava 2020