Chalom,
Pourriez vous m’aiguiller et me dire si j’ai bien saisi :
Au final le Nissayon est il bénéfique seulement si l’on essai de sentir Hachem proche de nous pendant l’épreuve, dans quel cas quelque soit l’issue de l’épreuve, nous ressortiront d’un lien grandit avec lui et ce pour la vie ?
Un peu comme si quelqu’un de chair et de sang leavdil m’accompagnait physiquement et moralement dans une épreuve ?
Si oui, pourriez vous me donner des clefs pour ressentir avec plus de force cette présence ?
Merci
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Tout ce que tu dis est tout-à-fait exact, la clé est de répéter en verbalisant et en s’imprégnant de ce que l’on dit de façon fréquente durant la journée des phrases exprimant cette idée tel que :
Téhilim (23 ; 4) :
Dussé-je suivre la sombre vallée de la mort, je ne craindrais aucun mal, car tu serais avec moi; ton soutien et ton appui seraient ma consolation
Ou encore Béréchit (49 ; 18) :
J’espère en ton assistance, Seigneur.
Il existe certainement beaucoup d’autres versets, cela vaut la peine de les rechercher dans les Téhilim, beaucoup vont dans ce sens et expriment l’aide et le soutien constant qu’Hachem nous procure.
Chabbat Chalom,
Rav Ron Chaya
Dussé-je suivre la sombre vallée de la mort, je ne craindrais aucun mal, car tu serais avec moi; ton soutien et ton appui seraient ma consolation
J’espère en ton assistance, Seigneur.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 74355
Date de création : 2017-01-19 17:58:42