Chalom,
Je n’aurai jamais pu imaginer qu’une kavana adéquate à un moment aussi propice aurait pu être indésirable…
Vous dites « On doit faire la mise en condition avant de prononcer la berakha « Baroukh Ata Ado-naï Gaal Israël » », mais cela m’est impossible car le tsibour va trop vite, et je risque de commencer ma Amida en retard (sans parler des trois pas en arrière devant quelqu’un qui a commencé sa Amida avec tout le monde, je ne peux plus reculer…)
Puis-je avoir mes kavanot (j’y gagne vraiment beaucoup) pendant que je dis « Hachem séfataï tifta’h oufi yaguid téhilatékha » en disant cette phrase lentement, avant « téhilatékha », ou dois-je me prosterner vraiment de suite après Gaal Israël ?
Désolé du retour, mais c’est très important pour moi…
Encore merci.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom,
Tu peux dire ces mots plus lentement, mais il ne faut pas que cela dure plus de 4 ou 5 secondes.
La bonne solution est la suivante :
- Venir plus tôt la synagogue
- Commencer à faire tout ta prière
- Et même, si c’est nécessaire,
- attendre à Téhilot laKèl Elyon le temps que le tsibour arrive,
- et commencer en même temps avec le tsibour,
- Et un peu avant de dire Baroukh Ata Hachem Gaal Israël,
- tu t’arrêtes,
- tu penses toutes les kavanot que tu veux,
- et tu fais en sorte de commencer avec le tsibour
Chabbat Chalom
Au revoir,
Rav Ron Chaya
- Et même, si c’est nécessaire,
- attendre à Téhilot laKèl Elyon le temps que le tsibour arrive,
- et commencer en même temps avec le tsibour,
- attendre à Téhilot laKèl Elyon le temps que le tsibour arrive,
- tu t’arrêtes,
- tu penses toutes les kavanot que tu veux,
- et tu fais en sorte de commencer avec le tsibour
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 86795
Date de création : 2019-05-30 13:53:53