Bonsoir Rav Chaya.
J’espère que tout va bien pour vous.
J’ai une question sur Chema avant de se coucher et arvit.
- Je prie arvit chez moi à la tombe de la nuit mais en ce moment, étant l’été , je vais me coucher juste après et je fais donc la prière du coucher.
Cependant on répète achkivenou et Chema…
Dois je les refaire si j’ai prié arvit quelques minutes avant ? - Dans le livre les mots Ata et le nom de D sont entre parenthèse.
Dois je les prononcer ?
Merci pour vos réponses.
Chabbat Chalom.
Réponse du Rav Ron Chaya :
Chalom Nathan,
- Dans les siddourim en Israël, il n’y a pas de texte « hachkivénou » pendant le kéryiat Chéma ché’al hamita, donc je ne sais pas de quoi tu parles.
Quoi qu’il en soit, si ce texte ne comporte aucune berakha, il n’y a aucun problème à le dire (ou pas vu qu’il n’est mentionné dans aucun siddour en Israël).
- Dans la berakha Baroukh hamapil, les mots « Ata Ado-naï » sont parfois entre parenthèses car effectivement, selon certains possekim comme le Ben Ich ‘Haï, il est préférable de ne pas réciter cette berakha avec le nom de D.ieu de crainte qu’on parle après le kéryiat Chéma ché’al hamita.
Cependant, d’autres rabbins tels que le Rav Ovadia Yossef Zatsal écrivent qu’il n’y a pas de problème à cela car même si on a parlé alors qu’on n’aurait pas dû, malgré tout, notre bénédiction n’est pas devenue une berakha lévatala.
Au revoir,
Rav Ron Chaya
Quoi qu’il en soit, si ce texte ne comporte aucune berakha, il n’y a aucun problème à le dire (ou pas vu qu’il n’est mentionné dans aucun siddour en Israël).
Cependant, d’autres rabbins tels que le Rav Ovadia Yossef Zatsal écrivent qu’il n’y a pas de problème à cela car même si on a parlé alors qu’on n’aurait pas dû, malgré tout, notre bénédiction n’est pas devenue une berakha lévatala.
Rav Ron Chaya
Référence Leava : 83002
Date de création : 2018-07-19 23:58:09